1. COLLECTION LE MARIN. Maître d’hôtel de l’amiral à Tahiti (1/4)


    Datte: 23/10/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... quatrième pour moi.
    
    Hugo s’est assis sur une vieille chaise, il l’a tiré sur ses genoux, il était très massif lui aussi et j’ai eu peur que cet amas de chair la fasse s’écrouler.
    
    Devant moi, il l’embrassait à pleine bouche, assis moi aussi, mais dans un vieux fauteuil à moitié éventré, je voyais sa langue dévorer la sienne.
    
    C’était presque abject, surtout quelle attrape une autre bière sur la table, qu’elle décapsule à sa manière.
    
    Je voyais une autre de ses dents la quitter, mais une nouvelle fois elles ont tenu.
    
    ● Tu vois, cette grosse truie coute le prix de quelques pacs de bière.
    
    Elle se fait son gros cul avec des canettes, tu l’alimentes et tu la baises.
    
    Tu la veux, dans quelque temps, je serai parti et c’est toi qui profiteras de ses grosses mamelles.
    
    Sans pudeur devant cette femme, prononçant ces mots, il sort un sein de la blouse de cette Tahitienne et se met à le sucer.
    
    Boire et se faire sauter ça semble être son seul crédo, car à ce même moment sa voix m’est inconnue.
    
    Au fil de la soirée, putain, les deux pacs de bière disparaissent dans l’outre qu’est Tahia, Hugo et moi.
    
    Je voulais me cantonner à une, mais chaque fois qu’elle en ouvre une et qu’elle me la tend, je m’en saisis et je la bois.
    
    ● Merde, on est presque à sec, file-moi quelques billets, la paie, c’est demain, je vais aller au ravitaillement.
    
    La grosse se lève, Hugo en fait de même et quitte le logement.
    
    Je reste en tête à tête avec cette grosse vache ...
    ... qui me regarde avec des yeux bovins et amoureux, je devrais fuir, mais je suis aussi saoul qu’eux avec moins d’entrainement.
    
    ● Qu’est-ce qu’il a à m’offrir ce gentil petit marin sous son pantalon à pont blanc ?
    
    C’est la première fois qu’elle s’exprime, c’est loin de me rassurer.
    
    Tout le monde sait que dans la marine, nous sommes habillés avec des pantalons fermés sur le devant par ce que nous appelions un pont.
    
    Une fois défait et rabattu, c’est ce qu’elle fait après s’être agenouillé devant moi, ma verge est entièrement à sa merci.
    
    Par cette chaleur nous les matelots, nous restons nus sous nos pantalons.
    
    Ma verge disparaît dans sa bouche édentée.
    
    Je sens le bord de ses dents, là où il en manque, mais même sucé par ce laideron, c’est divin.
    
    ● Je vois que vous avez fait connaissance, je vais pouvoir rentrer en France retrouver ma femme, mes cinq enfants, bientôt six.
    
    Je sais, ça fait deux ans que je suis loin d’elle, mais quand on aime, on accepte cette petite tromperie.
    
    J’ai bien sauté le gros cul de Tahia pendant deux ans, hein ma poule.
    
    Tahia s’est relevée, sans aucune retenue, il lui claque le cul comme le font les hommes politiques dans nos campagnes lorsqu’ils tâtent le cul des vaches.
    
    ● Tient, voilà de la bibine pour la nuit, au pieu, on va se vider les couilles.
    
    Comme tu l’as constaté, elle suce comme une grosse salope, mais tu vas voir, allongée, elle les écarte et tu plonges dans son puits sans fond.
    
    ● ...