1. COLLECTION LE MARIN. Maître d’hôtel de l’amiral à Tahiti (1/4)


    Datte: 23/10/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    Je tairai, la période où se situe cette histoire.
    
    La seule chose que je peux dire, c’est que cette histoire m’est rapportée par le jeune matelot, maître d’hôtel de l’amiral de la place de Tahiti qui l’a vécu pendant son service militaire et mon séjour là-bas.
    
    J’ai été obligé de croire ce qu’il m’a raconté, car à un moment dans ce récit, il m’apportera la preuve que son histoire est bien réelle.
    
    Je venais d’être nommé à l’arsenal de la marine de Papeete pour un an sur un remorqueur des bateaux militaire.
    
    Le second-maître Hugo que je remplaçais ayant fait c’est un an, plus une deuxième année, seule solution pour valider ses points de campagne lui doublant ses points de retraite.
    
    Pendant ces années, nous touchions double paie.
    
    Une moitié en francs pacifiques et le reste bloqué sur un compte en France.
    
    C’était dur de décrocher un poste aussi planqué que celui-là, dans ces îles paradisiaques.
    
    J’avais la chance d’avoir un tonton général dans l’armée de terre.
    
    Il avait fait jouer ses relations dans la Royale pour que je décroche cette affectation.
    
    Hugo, second-maître alors que je suis encore quartier-maître chef, dès le premier soir m’a amené chez sa vahiné.
    
    Il avait vécu avec elle depuis le deuxième jour de ces deux années.
    
    Tahia avait 30 ans et pour moi, une vahiné s’était les jeunes femmes qui m’avaient accueilli comme tous les passagers arrivant de France.
    
    Elles nous avaient fait, bises, colliers de fleurs et avaient leurs seins ...
    ... recouverts de deux demi-noix de coco reliées entre elles par de petites lanières de cuir.
    
    Ces jeunes femmes nous avaient dansé le tamouré m’invitant même à me tortiller devant tous en passant pour un con.
    
    Elles faisaient rouler leur petit cul, à la limite de me faire bander.
    
    Bref, les vahinés vues à la télé lors de cartes postales.
    
    Toute la journée il m’avait bassiné avec cette jeune femme qui lui avait apporté tout ce qu’un homme pouvait espérer d’un cul de bonne femme.
    
    Aucune méprise, c’était un marin vieille école et « cul de bonne femme », c’était sa manière de s’exprimer.
    
    Nous étions passés dans une épicerie, dans son quartier, proche de ressembler aux favélas de Rio que j’avais vues lors d’une escale à bord d’un escorteur d’escadre, dont je tairai le nom, pour éviter de restituer l’époque.
    
    Un cul, Tahia en avait un, mais celui d’une jeune femme de 90 kilos.
    
    Vous ajoutez à ça la bouche à moitié édentée et vous avez la réalité d’une grande partie des femmes de ces îles paradisiaques.
    
    Je devais comprendre rapidement pourquoi.
    
    Les canettes de bières chaudes, elle les ouvrait avec son reste de dents lui servant d’ouvre-bouteilles.
    
    Le tableau se complétait par une paire de seins débordant de son tee-shirt made in America avec une jupe allant presque jusqu’à ses chevilles.
    
    Une vraie tue l’amour.
    
    Je buvais peu et je bois encore moins, quand elle a fait sauter quatre capsules.
    
    Une pour Hugo, deux pour elle qu’elle a sifflé coup sur coup et la ...
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