1. La Rencontre


    Datte: 19/10/2021, Catégories: fh, voyage, fsoumise, vidéox, Oral pénétratio, fsodo, sm, attache, yeuxbandés, fouetfesse, confession, candaul, dominatio, Auteur: DeuxD, Source: Revebebe

    ... mais manifestement en demi-érection.
    
    — Oh, tu peux être fière de toi. Tu me rabaisses à ton niveau. Tu peux me dire ce qu’il a de plus que moi ? Ses poils ? On dirait un orang-outang ! Son sexe ? C’est vrai qu’il te remplissait bien la bouche avec son bout si difforme. Le mien est trop petit pour toi ? Pas assez gros ? Attends, je vais te montrer.
    
    Il agrippe le foulard et, en tirant, l’extrait de ma bouche pour le repousser dans le cou. Ma bouche est douloureuse, la commissure des lèvres comme coupée, mais il ne s’en soucie pas. Il ne me laisse pas le temps de réagir que déjà il avance son sexe et me le fourre dans la gorge.
    
    — Alors, tu le trouves comment ? Tu sens qu’il grossit ? Tu vois ce que tu as fait de moi ?
    
    Il emprisonne ma tête entre ses deux mains. Il pousse son sexe jusqu’à ce que ses bourses se frottent à mon menton. Il me bloque. Je sens sa verge se déployer, le bout toucher le fond, déclencher un réflexe nauséeux. Je pleure. Il se retire un peu, mais revient. Je sens sa puissance. Il est d’une dureté redoutable. Il me baise la gorge. C’est difficile, mais je suis à sa merci. Il se retire. Je l’entends dire :
    
    — Non, excuse-moi, je ne peux pas.
    
    C’est la voix de mon mari, d’Alexandre, de mon époux toujours délicat, attentif, prévenant. Sa bonne nature a repris le dessus et a chassé le mari qui vient de découvrir son infortune. Alors j’ose :
    
    — Non, non, viens, continue.
    
    Tel un Janus, son visage change. Il n’a pas le masque que j’ai imaginé ...
    ... voir sur Alejandro, masque hideux, cornu, de Satan empalant une damnée, mais la douceur l’a quitté.
    
    Ses mains me reprennent et ma bouche ouverte est bien vite remplie de son dard encore gluant.
    
    Jamais il n’avait été si directif, si puissant, si transgressif. Avant le repas, son jeu était plus mesuré, plus construit, probablement avec déjà la pensée de ce que je lui avais caché, mais refusant encore d’y croire.
    
    Le bruit est obscène. De ma gorge, un flot de salive souille tout ce qu’il rencontre, y compris l’écran de mon smartphone qu’Alex repousse du pied. En me tenant la tête, il me force à me cambrer comme pour aligner ma gorge avec l’axe rigide de son mandrin.
    
    Je pleure. Je tousse. Je crache en reprenant ma respiration pendant la seconde ou le deux où sa queue me libère assez. Je l’entends respirer, retenant sa respiration pendant qu’il bloque son dard tout au fond de moi, ma bouche grande ouverte, son pubis plaqué sur ma lèvre haute, ses couilles écrasées contre mon menton.
    
    Il me baise. Je l’entends aussi me traiter de tous les noms. L’espagnol n’est plus nécessaire, c’est bien mon mari français qui me soumet. C’est une musique étrange, presque agréable. Je l’entends me traiter de : traînée, de garce, de putain, de salope, de vicieuse et de perverse. Il se libère de sa tension, de sa colère, rejetant sur moi toute la responsabilité de cette situation.
    
    Son dard est d’une dureté que je ne lui connaissais plus. Il m’étouffe et je le noie de salive. Jamais, ...