Céline, ma voisine (1)
Datte: 16/10/2021,
Catégories:
Hétéro
Auteur: naipas, Source: Xstory
... long sur ses intentions. Je rentrai. Je commençai à en pincer pour elle. Ma timidité refusait de l’imaginer nue dans mon lit et moi qui la caresserais doucement pendant qu’elle jouerait avec ma bite. J’osai lui adresser la parole.
— Pardonnez ma curiosité. Excusez-moi de vous le demander, mais vous ne portez pas de culotte ?
— Vous l’avez remarqué? Voyez-vous ça, un jeune homme curieux qui regarde entre les cuisses des femmes pour voir si elles ont une culotte !
Elle me sourit. Je lui rendis son sourire.
— Oui, je n’en porte que quand je sors. Les slips me gênent. J’ai un gros clitoris et quand ma culotte me serre trop, elle frotte dessus et cela me fait un peu mal.
Elle me répondit cela avec un naturel qui me déconcerta, puis elle rentra. Une circonstance fit que, quelques jours plus tard, elle vit frapper à notre porte. En ouvrant, je m’aperçus qu’elle ne portait qu’une petite chemisette qui laissait apparaître ses bouts de sein. Je ne pus m’empêcher de les regarder. Mes yeux se plantèrent dans les siens. Elle s’en aperçut. Elle ne dit rien. Ma mère la fit entrer et lui proposa un petit café. Elle accepta et s’installa sur un fauteuil. Ma mère partit faire des courses. La voisine me demanda.
— Excusez-moi, pouvez-vous m’aider à accrocher mes grandes tentures dans ma chambre ?
— Oui, bredouillais-je, surpris.
— Ce sera très court. Je ne vous dérangerai pas longtemps.
— Pas du tout. Ce sera avec plaisir.
Comme j’étais seul, je laissai un mot ...
... pour ma mère et suivis la voisine.
— Voulez-vous une tasse de café, ça vous donnera des forces...
— Oui, avec sucre et lait.
— Vous n’êtes pas difficile !
— Vous trouvez ?
— Tu peux me tutoyer, depuis le temps qu’on se parle au jardin. Et m’appeler par mon prénom.
— Oui, Céline.
— Marie-Céline.
— Je sais, mais je préfère Céline, c’est plus court et plus joli. Et c’est le titre d’une chanson d’amour.
— Ah ! De qui ?
— Hugues Aufray. Elle est toute récente.
Et je lui fredonnai la chanson. Elle me fit entrer au salon et je m’installais dans un fauteuil. Elle revint avec le café et des biscuits et elle s’assit dans le divan en face de moi. Je bus mon café à petite gorgée.
— C’est chaud !
— Tu n’aimes pas ?
— Non. Quand c’est trop chaud, cela perd de la saveur.
— Il y a bien autre chose de chaud !
Je ne perçus pas l’allusion, mais lentement, elle écarta ses jambes pour mieux s’asseoir et j’eue le temps d’apercevoir un petit coin de tissu bleu ciel bien loin entre ses cuisses. Je détournai les yeux et fis semblant de n’avoir rien vu. Mais la coquine avait vu mon coup d’œil. Elle sourit.
— Ne serais-tu pas un peu voyeur ?
— Pourquoi ?
— Ne fais pas l’innocent. Tu as regardé entre mes cuisses quand j’ai ouvert mes jambes hier. Tu as vu quelque chose d’intéressant ?
— Oui. J’ai vu l’autre jour que vous n’aviez pas de culotte. Mais celle-ci, elle est bleue.
— Je t’ai expliqué la raison. Mon gros clitoris. Cela t’a plu ? C’est ...