Céline, ma voisine (1)
Datte: 16/10/2021,
Catégories:
Hétéro
Auteur: naipas, Source: Xstory
... de moi. Rends-moi ma culotte.
— Pourquoi ?
— Tu vas voir.
Je lui rendis son petit vêtement. Elle se lèva, soulèva sa jupe et lentement, frotta sa culotte sur sa chatte puis me la fit sentir.
— Regarde ma chatte. Tu vois mon clito tout gonflé. Tu sens ? Elle est mouillée. Mais si tu veux, tu peux voir le reste. Mais avant, embrasse-moi.
Elle s’approcha, me tendit les bras. Je la pris dans mes bras. Je posai ma bouche sur la sienne. Sa langue s’insinua dans ma bouche, s’enroula autour de ma langue. Le baiser devint fou, elle soupira d’aise, s’écarta pour respirer puis reprit son jeu de langues.
— Tu embrasses bien, on dirait que tu as l’habitude d’embrasser une femme, cela m’excite. Je sens ma chatte qui se mouille encore plus et qui me donne envie de te sentir en moi. Regarde bien.
Elle soulèva sa jupe et je vis de près sa chatte aux poils courts et frisés. Elle posa sa main dessus et en écarta les lèvres, découvrant un gros bouton rose vif caché sous un repli charnu.
— Tu aimes me voir la chatte ?
— Oui, elle est belle.
— Déshabille-toi.
— Oui pourquoi ?
— Je veux voir ta bite. À voir la bosse qui emplit ton short, elle ne doit pas être mal.
— Mais je veux que tu te déshabilles aussi.
— Pourquoi moi d’abord ?
— Parce que c’est beau une femme nue.
— Ne sois pas trop pressé. Nous avons le temps. Je me souviens d’une réflexion d’un écrivain qui disait que le meilleur moment dans l’amour c’est quand on monte l’escalier.
— Je ne ...
... connaissais pas cette parole.
Pour lui faire plaisir, j’enlèvai mon pantalon puis mon slip.
— Pas mal ta bite. Tu as une belle bite. Elle est comme je les aime, ni trop grosse, ni trop petite, ni trop grande, ni trop mince. Elle est plus courte que celle de mon mari, mais plus grosse avec un beau gland. Je vais la caresser pour la mettre en forme. Regarde-moi. Dis-moi ce qui te plaît le plus.
— Ta chatte. Quel beau clitoris tu as ! Comme il est gros.
— Tu trouves ? Tu en as déjà vu, petit coquin. Je t’ai déjà dit que j’en avais un gros qui frotte sur mon slip et ça me chatouille, alors je me caresse et je me fais jouir.
— Oui. Je n’en ai jamais vu d’aussi joli. On dirait un gros pois rose.
— Il est toujours comme ça. Il sort tout seul de sa gaine quand je suis excitée comme maintenant grâce à toi.
— Je te fais donc tant d’effet ?
— Oui, bien sûr. Je te regardais dans le jardin. Je voyais bien que tu voulais voir mes seins. Tu ne serais pas un peu voyeur ? Mais cela ne me dérange pas. J’étais un peu excitée en me rendant compte que tu voulais en voir un peu plus.
— Tu ne portais pas de soutien.
— Je n’en porte jamais quand je suis chez moi.
— Mais tu avais une culotte.
— Ben oui. J’en mets parfois une quand je travaille. Mais c’est rare, alors il faut qu’il fasse froid. Un rhume de chatte, ce n’est pas agréable.
— Toujours ?
— Non.
— Ah !
— Cela t’étonne ? Il m’arrive de sortir la chatte à nu. Mais je porte une robe longue pour ...