Céline, ma voisine (1)
Datte: 16/10/2021,
Catégories:
Hétéro
Auteur: naipas, Source: Xstory
Céline, ma voisine
Je venais d’avoir 18 ans. Nous habitions une petite rue en impasse qui ne comportait que sept maisons. Un jour, nos proches voisins vendirent leur maison à un couple. Le mari, âgé de quarante ans, était directeur d’une agence bancaire dans une ville voisine. Il partait le matin et rentrait le soir. Sa femme, sa cadette d’un an, restait à la maison. Elle s’occupait de son ménage et faisait la comptabilité pour des magasins. Très discrète, elle ne venait chez nous que par nécessité, arguant qu’elle ne voulait pas déranger. Grande, brune aux cheveux tombant, elle s’habillait sobrement. Parfois, elle venait dans le jardin contigu au nôtre et nous échangions un petit salut. Il m’arrivait alors de l’observer tout en sarclant les salades ou en arrachant les mauvaises herbes. Un matin de vacances, je cueillais des haricots. Elle s’approcha de la clôture.
— Pardon de vous déranger, n’auriez-vous pas un grand râteau ? Je dois ramasser les herbes arrachées.
— Je vais vous chercher ça.
Je revins avec l’outil.
— Merci, dit-elle avec un sourire.
Je pus ainsi la voir de près. Un visage fin encadré de ses cheveux sombres, une poitrine bien faite, de longues jambes. Elle se rendit compte que je la détaillais, me regarda, se pencha en avant. Son décolleté s’ouvrit, me découvrant la naissance de ses seins. Elle ne portait pas de soutien-gorge et les bouts se dessinèrent, gonflant le léger tissu de sa robe. Quand elle s’accroupit pour ramasser les brins, ...
... elle écarta négligemment les jambes et je vis sa culotte de coton blanc.
— Vous ne trouvez pas qu’il commence à faire chaud ?
— Oui, répondis-je en rougissant.
Je restais figé, suivant ses gestes mesurés. Le balancement des bras faisait jouer les seins dans le corsage. Elle me tourna le dos, se pencha de nouveau. Sa robe courte se releva bien haut, à la limite de la fourche. Impossible de détourner les yeux de cette vision. Quand ma mère m’appela, je pris mon panier de haricots et quittai le jardin non sans avoir lancé, d’une voix couverte :
— Au revoir, Madame.
— Au revoir jeune homme. Où dois-je remettre le râteau ?
— Passez-le derrière le fil, je le reprendrai plus tard.
— En tout cas, merci pour le service.
— De rien. C’est quand vous voulez.
C’est ainsi que je fis la connaissance de la voisine. Peu à peu, nous liâmes connaissance. Chaque jour, nous bavardions chacun de son côté de la clôture. J’appris ainsi qu’elle s’appelait Marie-Céline, qu’elle avait trente-neuf ans, qu’elle n’avait pas d’enfants, qu’elle avait fait l’Unif en sciences politiques, mais que son mariage l’avait empêchée de faire carrière dans les institutions européennes naissantes. Le lendemain, je binais les haricots. La voisine vint m’appeler. Elle s’était accroupie près de la clôture et je vis qu’elle n’avait pas de culotte. Sa chatte ouverte semblait me regarder avec une lueur d’envie. Elle resserra ses cuisses et se releva comme si de rien n’était. Mais son regard en disait ...