Un miroir bien indiscret
Datte: 16/10/2021,
Catégories:
fh,
hagé,
médical,
douche,
Voyeur / Exhib / Nudisme
miroir,
caresses,
confession,
initiat,
Auteur: MinieLulu & MaxiJuju, Source: Revebebe
... des courses pour bien recevoir votre frère ?
— Non, j’y suis allé samedi après-midi, je ne voulais pas que vous ayez à ressortir aujourd’hui.
— Eh bien, il ne nous reste plus que votre toilette, laver votre linge, et préparer à manger, alors ! Vous allez à la salle de bain ? Je vais lancer la machine et je vous rejoins, OK ? De toute façon, y’a pas le feu, j’ai fini ma matinée après vous, je ne reprends le travail qu’à 17 h ce soir.
— D’accord, Lucie !
J’ai vu dans les yeux de monsieur Jean une lueur que je ne lui avais jamais connue jusqu’ici et j’ai réalisé au travers de ce sentiment de joie la beauté de la nature humaine qui, souvent, sait se satisfaire de peu de choses pour avoir du plaisir… Je sais que son frère est un prétexte et que ce qui motive monsieur Jean est ce moment de toilette où il se rince l’œil à chaque fois, persuadé que la naïve Lucie ne voit rien à ce petit manège…
À mon arrivée dans la salle de bain, monsieur Jean est nu et assis sur le siège de douche fixé au mur.
— Allez, Monsieur Jean, on fait un shampoing aujourd’hui ?
— Si vous voulez. Mais je préfère rester assis, ça ne vous dérange pas ?
— Comme vous voulez, Monsieur Jean.
Ainsi je lui fais le shampoing et lui rince la tête. Monsieur Jean s’est rasé seul avant mon arrivée, il le fait visiblement tous les matins depuis qu’il a repris du poil de la bête. L’ordre d’une douche doit aller du plus propre au plus sale en changeant de gant après le lavage des pieds afin de terminer par ...
... la toilette intime. Après la tête, je lui lave donc le dos, puis le torse, les bras, les cuisses, les jambes et les pieds…
Cela fait cinq ans que je suis aide-soignante et ces actes sont devenus des automatismes, je pourrais les faire les yeux fermés et même en dormant, pourtant, sachant que monsieur Jean attend ce moment du lavage des pieds avec impatience, je prends mon temps et m’attarde. Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai envie de lui faire plaisir…
Mes pensées s’égarent, je suis accroupie devant lui en sachant très bien qu’il a le regard plongé dans mon décolleté et qu’il ne perd pas une miette des moindres mouvements de mes seins… Il me passe même par la tête des flashs de ce qu’il peut s’imaginer, de ce qu’il peut fantasmer… Au bout d’un certain temps, et toujours dans mes pensées, je change de gant par réflexe pour commencer sa toilette intime. Je reste accroupie devant lui et lui demande comme à chaque fois de se lever. Ma main gauche décalotte son gland pendant que ma main droite, équipée du gant, effectue la toilette. Sans pouvoir me l’expliquer, je sens que celle-ci revêt aujourd’hui une dimension particulière, car je me sens troublée, très troublée, et je ne prends pas conscience que cette toilette intime s’éternise… Elle s’éternise trop pour rester perçue comme une toilette et dans l’esprit de monsieur Jean devient caresse, à tel point que son sexe durcit entre mes doigts…
— Pardon, Monsieur Jean, je suis désolée, j’étais dans mes pensées, je ne voulais ...