1. Ma mère, à poil...pour un peu de pinard ! (2)


    Datte: 16/10/2021, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: antonin mordore, Source: Xstory

    ... pour placer sa main sur la croupe de ma mère, qui ne regimba pas. Alors il leva doucement le tissu de la robe au-dessus des fesses, présentant le petit cul offert et dénudé, le porte-jarretelles apparent, et la chatte à portée de ses doigts.
    
    Il passa sa main directement devant son bassin, et caressa la toison brune du pubis. Il avait les yeux rivés sur le sexe de ma mère. Dans un moment de pur égarement, et n’en pouvant plus, je tendis ma main pour palper une fesse, et devant l’absence de réaction, je caressai la moule offerte, dégoulinante de jus. D’un doigt hésitant, je caressai le clitoris gonflé, et fis pénétrer deux doigts dans le sanctuaire aquatique. Le vieux vint rejoindre mes doigts, dans la chatte entrebâillée, nullement étonnée d’y trouver les miens.
    
    Ma mère était doigtée par quatre doigts, de deux hommes différents, dont son fils. Mais son état d’excitation et d’humidité était tel, que l’on aurait aussi bien pu y faire rentrer une bouteille de vin par le goulot. Je levai mes yeux vers elle, toujours occupée à choisir la bouteille de vin alibi, pour la voir, les seins tendus à l’extrême, dont les mamelons semblaient vouloir déchirer le tissu fin de la robe, et son visage crispé de plaisir. Ma mère se mordait les lèvres pour se retenir de ne pas gémir de jouissance !
    
    Et puis je repris bien sagement ma place de fils parfait...
    
    Quand enfin, elle daigna redescendre de l’escabeau, avec la fameuse bouteille de vin bien méritée, elle avait les yeux dans le ...
    ... vague, le rouge aux joues, un peu de sueur au niveau de son cou : j’avais l’impression que si nous le lui avions demandé, elle aurait enlevé sa robe pour se retrouver nue, en porte-jarretelles, au milieu de nous trois, hommes en état de rut, et que nous l’aurions prise comme une putain, pour son plus grand plaisir !
    
    Et puis le vieux nous conduisit dans une cave souterraine, avec ses meilleurs tonneaux de vin, entassés sur environ trois mètres de hauteur, dans un équilibre qui semblait bien instable !
    
    Cette fois-ci, ce fut mon père qui dut monter sur une échelle, pour aller chercher deux tonneaux de cinquante litres, tout en haut, nous laissant seuls en bas, la salope et les deux gougnafiers !
    
    Le vieux mit sa main sur la hanche de ma mère, pour la faire se déplacer, lui disant que la manipulation des fûts de vin pouvait être dangereuse. Et pendant que mon père s’escrimait à attraper le fameux fût, grimpé sur son échelle branlante, pour s’approprier le divin nectar, le père Buisson, lui s’appropriait une fois de plus le cul de ma mère. Le vieux était tellement absorbé à passer sa main sur sa cuisse gauche, puis à remonter doucement sous le tissu de la robe, pour faire apparaître la jarretelle blanche, puis aller fouiner au niveau du sexe de ma mère, qu’il ne remarquait pas que moi, je le matais discrètement. Je bandais comme un malade devant cette vision obscène, ma mère tripotée de son plein gré par un vieux croulant !
    
    Le vieux saligaud avait maintenant les deux mains ...