1. Ma mère, à poil...pour un peu de pinard ! (2)


    Datte: 16/10/2021, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: antonin mordore, Source: Xstory

    ... comme un paréo.
    
    — Heu oui, mais là, on est en famille ; il n’y a rien de sexuel ! Si tu sors en bas et porte-jarretelles, et que tu t’assois sur ce maudit fauteuil, habillée comme... comme...
    
    — Une pute ! C’est cela que tu as à l’esprit ?! me dit-elle, le regard féroce.
    
    — Non, ce n’est pas ce que j’ai voulu dire, mais tu dois faire attention à ta vertu !
    
    — Ma vertu, elle m’appartient, j’en fais ce que j’en veux ! Et toi aussi, tu commences à me faire chier ! Tu es aussi con que ton père ! File maintenant, je dois m’habiller ! Je décidai de m’éclipser devant la vindicte maternelle... courageux, mais pas téméraire. Il est quand même drôle d’avoir une mère qui me laisse rentrer dans la salle de bain, quand elle est à poil, et me demande d’en sortir quand elle s’habille ! me dis-je en souriant.
    
    Ou alors, la féline ne voulait pas que je découvre ses sous-vêtements... ou leur absence ! Bref, c’est extrêmement excité que j’accompagnai mes parents à cette cave du bon vieux père Buisson, visite qui promettait d’être très exaltante ! Dans la voiture, je remarquais que mon père louchait sur les jambes de ma mère, essayant de savoir si elle avait bien mis ce fameux porte-jarretelles sans rien d’autre ! En tout cas, elle portait bien du lycra blanc sur ses jambes ! Déjà un fameux bon point... la question restait : alors bas ou collants ? Question à mille euros !
    
    Le bon vieux père Buisson nous accueillit à bras ouverts, et la verge déjà tendue dans son pantalon de ...
    ... toile !
    
    Il nous fit la même sérénade que la dernière fois, avec nouvelle dégustation de bons vins, au cas où nous en aurions oublié le goût... et surtout le volume d’alcool, car évidemment, ma mère ne se gêna pas pour boire très rapidement deux ballons pleins du divin breuvage... avec les effets que le vieux saligaud attendait en salivant ! Remarquez, il n’était pas le seul. Au moins deux autres hommes attendaient, avec véhémence, les égarements musculaires de ma mère au niveau des cuisses ! Et personne ne fut déçu.
    
    Ma mère riait aux éclats des blagues, plus ou moins stupides et franchement grivoises, que nous débitait le vieux schnock, à la vitesse d’un bûcheron canadien dans un concours de coupe de bois, dans le Saskatchewan ! Et je voyais qu’il attendait avec la plus grande impatience le moment- magique entre tous- quand ma mère se détendrait, et écarterait les cuisses ! Et ce qui devait arriver arriva !
    
    Jusque-là, tout se "passait bien ", ma mère restait avec les genoux bien croisés, qui nous interdisaient la moindre vue sur sa "bonbonnière". Et puis elle commença à jouer des jambes, comme la fois précédente... En même temps, la petite robe blanche semblait se remonter progressivement, comme par magie, jusqu’à faire apparaître la lisière des bas blancs et les jarretelles, sur quelques centimètres ! Le père Buisson en restait transi de désir, les yeux toujours rivés sur le bas du corps de ma mère, même lorsqu’il déblatérait ses conneries. Quant à mon père, lui aussi ...
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