1. Ma mère, à poil...pour un peu de pinard ! (2)


    Datte: 16/10/2021, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: antonin mordore, Source: Xstory

    ... jetait un regard torve sur les cuisses de sa femme, en maintenant une conversation basique et insipide comme sait le faire tout bon fonctionnaire !
    
    Il semblait attendre avec une impatience, le moment où ma mère céderait à ses pulsions exhibitionnistes, pour révéler la présence ou pas, d’une culotte pour préserver son intimité ! J’étais dans le même état d’excitation !
    
    Un vieux dégoutant lubrique, un fils voyeur et obsédé, un mari candauliste qui n’attendait que sa femme s’exhibe pour d’autres hommes... on peut dire que ma mère était bien entourée !
    
    A un moment, ma mère se pencha en avant pour reprendre son verre de vin, et se projeta littéralement en arrière de rire, grâce à la blague grivoise que lui avait assénée le vieux schnock : ce faisant, ses cuisses étaient grandes ouvertes, et je pus apercevoir avec fièvre les jarretelles blanches tendues, la fente rouge, le clitoris qui bourgeonnait, entourés par les poils bouclés noirs de ma mère ! Le vieux en resta béat d’admiration, la cigarette pendante sur ses lèvres, qu’il finit par faire tomber par terre. Me penchant rapidement pour la lui récupérer, il ne faut jamais laisser une personne âgée se pencher en avant, tel le bon samaritain serviable que je suis, j’en profitai pour mater de bas en haut le sexe de ma mère, entièrement ouvert sur le monde. Ma mère me suivit des yeux, un petit sourire aux lèvres ! La salope ne se gêna plus dès ce moment, pour laisser ses cuisses toujours écartées, offrant la pleine vue sur ...
    ... son sexe, qui je le pensais était en état d’ébullition !
    
    Et cela pour la plus grande joie de mon père, qui bandait de voir sa femme se révéler impudiquement au vieux dégoutant, et à son propre fils, la chatte à l’air !
    
    Le vieux tout émoustillé par la situation, se pencha pour poser une main sur la cuisse de ma mère, sans aucune réaction de ladite, ni du mari. Caressant doucement la cuisse, ses doigts allant même au niveau de la peau nue près de la jarretelle, il dit à mes parents :
    
    — Madame, votre toilette est un ravissement pour les yeux, je suis content d’avoir pu assurer.
    
    Mon père acquiesça les yeux brillants et ma mère se leva, un peu pompette. Elle faillit se vautrer par terre, retenue de justesse par le vieux, qui ne manqua pas d’empoigner un sein au téton turgescent, pour l’occasion ! Mon père ne disait toujours rien ! Alors le vieux allait en profiter en embarquant ma mère dans un nouveau traquenard !
    
    Et c’en était un beau ! Alors que mon père regardait avec ferveur les différentes bouteilles disposées sur une étagère de cinq mètres de long, sur trois de hauteur, il présenta un petit escabeau sur lequel ma mère dut monter, pour choisir une bouteille du millésime 1976, sis à deux mètres de hauteur. Ma mère, sur le troisième échelon, nous présentait son petit cul savoureux et ses bas blancs au niveau de notre visage. Il faisait assez sombre dans la cave, et mon père avait pour mission d’éclairer ma mère dans son choix, vers la hauteur. Le vieux en profita ...