1. De la vierge à la salope (1)


    Datte: 14/10/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: tarbenero, Source: Xstory

    ... comment une femme pouvait me faire cet effet ? Je n’avais pas d’attirance particulière pour elles. Isabelle dut sentir mon abandon, elle saisit l’occasion, sa bouche se posa sur la mienne, sa langue força mes lèvres. Je cédais. C’était la première fois qu’une femme m’embrassait, ce n’était pas désagréable.
    
    Nous regagnâmes notre place. Roger me regarda, en souriant. Il n’avait pas manqué la séance avec Isabelle. Il se pencha vers moi et, me regardant dans les yeux, il déboutonna le haut de ma robe. Deux petits boutons, mais qui changeaient tout. Ma poitrine était offerte, Roger s’en empara, là, au milieu de la foule, il la caressa, se saisit de mes tétons qu’il pinçât, tritura, étira. Je ne peux résister à ce traitement. Je me glissais au bord de la chaise, écartant les cuisses.
    
    Roger m’écarta le slip et glissa un doigt dans ma fente.
    
    — Elle est trempée la salope. Son mari s’en va et elle est prête à se faire baiser.
    
    Il se saisit de mon slip et le fit glisser sur mes cuisses. Je me soulevais pour l’aider. Je ne savais plus ce que je faisais, je me laissais déshabiller par un mec que je ne connaissais pas une heure avant.
    
    Roger m’embrassa et me dit « Profite bien de ta soirée ».
    
    Un pompier s’approcha de la table et m’invita à danser. Enfin si l’on pouvait appeler cela de la danse.
    
    Mon pompier m’avait plaquée contre son corps. Une main sur les fesses, l’autre dans le dos, il me collait contre lui. Je ne pouvais pas me desserrer, mais en avais-je ...
    ... envie ?
    
    J’avais passé mes bras autour de son cou, et je me laissais aller. Il s’empara de ma bouche, sa langue força mes lèvres. Je m’abandonnais, ce n’était qu’un flirt après tout. Sa main trouva la fente de ma jupe ouverte très haut, j’essayais de résister, mais il était trop fort, et j’avais déjà abdiqué en partie. Il trouva ma chatte disponible et tout humide, ses doigts la fouillèrent, je gémissais sous ses caresses, ce qui l’encourageait à poursuivre.
    
    Je ne savais plus ce que je faisais, ma conscience me disait d’arrêter, mais mon corps s’abandonnait complètement. Norbert avait réveillé ma sensualité. Je ne pouvais résister aux caresses.
    
    L’homme m’entraîna vers les bâtiments. Une pièce y était aménagée, qui ne semblait attendre que nous. Un canapé se trouvait là. Le pompier m’y fit agenouiller. Je me laissais faire. Je sentis son mandrin appuyer sur ma chatte, j’étais tellement mouillée qu’il me pénétra sans effort. Je restais sans voix. A peine 15 jours et je trompais Norbert avec un mec que je ne connaissais même pas, qui me traitait comme une pute.
    
    Mon baiseur me limait, sa pine, qui était d’une bonne taille, envahissait ma chatte. Je ne pensais plus à Norbert, je ne pensais plus à rien, qu’à cette grosse bite qui m’écartelait, qui me faisait jouir. Un autre pompier arriva, la bite à la main, il l’approcha de ma bouche, essayant de forcer mes lèvres, un reste de conscience m’interdisait de lui accorder ce que je refusais à mon époux. Il me pinça le nez, m’obligeant à ...