De la vierge à la salope (1)
Datte: 14/10/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: tarbenero, Source: Xstory
J’ai connu mon futur époux, j’avais 18 ans. A part quelques flirts très sages, mes parents étant très sévères, je n’avais jamais eu l’occasion de « sortir » avec un garçon. J’allais au bal parfois avec mes cousines, mais dès qu’un garçon se montrait trop entreprenant, je le fuyais.
Avec Norbert, ce fut différent. Il se rendit vite compte de mon inexpérience, il se montra très patient, et sans me bousculer, il m’amena peu à peu à céder à ses caresses.
Un peu réticente au début, je me rendis vite compte que j’aimais cela. Ses mains qui parcouraient mon corps, puis plus tard sa langue qui s’attardait sur ma chatte éveillaient en moi des sensations jusque-là inconnues.
La nuit de noces fut une révélation, une explosion de jouissance, au point que je regrettais de ne pas l’avoir fait plutôt.
Ma vie de femme mariée commençait dans le bonheur. J’étais devenue avide de sexe, avec quand même certaines réticences dues à mon éducation sévère. Pas de fellation, pas de sodomie.
Norbert avait commencé à modifier ma garde-robe. Il voulait me mettre en valeur. Il aimait que l’on m’admire. Moi qui étais timide, peu sûre de moi, je commençais à prendre conscience de mon corps. J’avais la poitrine assez développée, mais ferme avec de tétons très marqués, bien en chair sans être grosse, des yeux clairs, des lèvres pulpeuses (une bouche de pipeuse m’avait on toujours dit), pas très grande, très cambrée.
Norbert avait supprimé les soutiens-gorge, qu’il jugeait superflus. Il ...
... m’avait acheté des robes très décolletées, courtes et évasées ou hyper-moulante, toujours boutonnées devant. Plus de pantalons.
Les slips étaient réduits à leur plus simple expression, et comme les poils de ma chatte débordaient sur les côtés, il m’avait accompagnée dans un institut pour me faire épiler. Il me restait une simple bande de poil au-dessus de mon con.
Notre vie s’écoulait dans le bonheur et la baise.
Le 14 juillet arriva, nous adorions danser tous les deux, aussi direction le bal des pompiers. J’avais revêtu une robe légère, boutonnée devant sur toute la hauteur, le bas me collait au corps, mettant en valeur ma cambrure et mes fesses, un string complétait cette tenue. Norbert m’avait déboutonné deux boutons du haut, créant un décolleté à la limite de la décence, et deux boutons du bas, dévoilant mes jambes jusqu’aux cuisses. Une ceinture enserrait ma taille.
Quand nous sommes arrivés, il y avait déjà une sacrée ambiance. La musique battait son plein, les couples tournoyaient sur la piste au son d’une valse musette. Norbert ne danse pas la valse. Lui c’est plutôt les rythmes latino et le rock.
Aussi nous attendions tranquillement le changement de danses. Je frétillais sur place, j’avais des fourmis plein les jambes.
Un pompier me remarqua, il vint m’inviter. Je le suivis sans hésiter, sans même demander l’accord de Norbert.
Mon cavalier me prit dans ses bras, et nous voilà partis dans une valse endiablée. Mon danseur dansait bien, nous tournoyons ...