1. De la vierge à la salope (1)


    Datte: 14/10/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: tarbenero, Source: Xstory

    ... comme des toupies. Dans ses bras, je me sentais bien. Il me serrait contre lui, ma poitrine, qui était nue sous ma robe, s’écrasait sur sa poitrine, je sentais mes tétons durcir. Ses mains sur mes hanches appuyaient mon ventre contre le sien, sa bite dure se frottait contre mon pubis. Je n’avais connu d’autres bites que celles de Norbert, celle de mon cavalier me semblait plus grosse. Je l’imaginais me pénétrant. Ma chatte s’ouvrait, je mouillais. Il y avait à peine quinze jours que j’étais mariée, et j’étais en train de mouiller pour un autre homme.
    
    La série s’acheva, je m’empressais de rejoindre Norbert. Assis à une table, il me regardait le rejoindre. Il ne pouvait pas ignorer mes tétons bandés sous ma robe, mais ne fit aucune remarque.
    
    Une série de slows suivie, que je dansais avec Norbert, puis des rocks, qui nous permirent de faire une démonstration.
    
    Nous rejoignîmes notre table sous les applaudissements, les pompiers me lançaient des compliments, certains à la limite de la décence.
    
    Norbert alla chercher à boire. Une série de slows démarra, un pompier se précipita pour m’inviter. Je le suivis sur la piste.
    
    Norbert revenait avec nos boissons, il me regarda partir, mais ne resta pas longtemps seul, une nana vint l’inviter.
    
    La soirée se poursuivit ainsi, entre danses tantôt avec mon époux, tantôt avec d’autres, mais toujours disponible. Flirtant parfois avec mes cavaliers.
    
    Un couple se dirigeait vers notre table, demanda la permission de ...
    ... s’installer, ce que nous leur accordâmes.
    
    C’était un couple curieux, lui devait avoir la cinquantaine, bien conservée, elle beaucoup plus jeune, très jolie, habillée de manière hyper-sexy.
    
    A minuit, Norbert manifesta l’envie de partir, il partait tôt le lendemain pour un déplacement en province. Devant ma déception, l’intervention de nos nouveaux amis, il partit sans moi.
    
    La soirée prit une autre tournure. Les pompiers avaient repéré le départ de mon époux. Ils se précipitèrent pour m’inviter à danser. Enfin, la danse était un prétexte.
    
    Ils me collaient contre leur corps sans retenue. L’époux n’étant plus là, ils n’avaient aucune raison de se cacher. Je me laissais faire, m’abandonnant dans leurs bras puissants. Toute la sensualité révélée par Norbert ressurgissait, m’empêchant de protester. Mon esprit se révoltait, mais mon corps s’abandonnait.
    
    Plusieurs de mes danseurs avaient déjà goûté à mes lèvres. Je leur abandonnais ma bouche, allant à la recherche de leur langue. Ma chatte était ouverte, suintante de mouille.
    
    Nouvelles série de slows, Isabelle m’entraîna sur la piste avant que l’on ne vienne m’inviter.
    
    Elle me prit dans ses bras. Comme un homme, elle me serrait contre elle, une main dans mon dos, l’autre sur mes fesses. Je sentais sa poitrine se frotter à la mienne, mes tétons bandaient. Isabelle couvrait mon cou de petits bisous, ce traitement me faisait de l’effet, comme avec les mecs, je sentais ma chatte s’ouvrir, mouiller. Je me sentais toute drôle, ...
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