1. Des cousins invitent Patrick, l'étalon. 6


    Datte: 13/10/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Mlkjhg39, Source: Hds

    ... grâce…
    
    -Oui, défonce-moi ! Je suis ta pute, fais de moi ce que tu veux, ouvre-moi le cul, fais tout ce que tu voudras… Je jouis, je viens sur ta pine, ta belle queue ! Ah chéri que c’est bon !... Je décharge comme une jument, aaahhh ! Je meurs.
    
    La belle teub, coincée par ses muscles vaginaux, n’était pas sortie de son antre, toujours raide, grosse et prête à continuer.
    
    -Tu me plais, toi, tu es un vrai mâle !
    
    Céline se remit à jouer du cul sur la belle bite. Elle aurait pu se faire piner ainsi durant des jours avant d’être satisfaite pleinement, et ce partenaire tenait la distance. Après quelques minutes elle dut lui échapper car ses jambes fatiguaient. Elle titubait avec une chatte en feu. Il se leva aussi, la repoussa vers le sofa où elle s’appuya, les épaules en avant et il s’empara de ses hanches. Il la prit comme une bête, enfonçant sa queue rapidement et profondément, lui arrachant un cri de douleur mélangé à l’extase. Il la défonça en enfonçant sa bite de plus en plus loin dans la chatte.
    
    Céline se laissait prendre comme une chienne, son vagin s’étirait et le laissait rentrer avec difficulté, râlant à chaque coup de bélier. Elle regardait en bas, étonnée que la queue soit presque entièrement en elle. Ses lèvres intimes restaient collées à ce membre imposant lorsque qu’il se retirait.
    
    -Remue chéri, que je sente ta trique me fourrer !... Ooohhh ! Je me vrille dessus, je me l’enfonce bien, tu sais !
    
    Elle réussit enfin à reprendre l’initiative et se ...
    ... déchaina. Son cul se mit en branle à une grande vitesse, menant son baisage tambour battant, jusqu’au moment où elle s’écroula, vidée de sa substance, sanglotant sur sa poitrine où elle se lova et lâchant une dernière fois : « Je jouis ». Cela faisait maintenant presque qu’une heure que Patrick forniquait avec son hôtesse et il décida qu’il était peut-être temps de conclure. Il s’était tellement fait limer la queue qu’il s’étonnait quelle ne soit pas tailler en pointe comme un gros crayon.
    
    Lorsque l’incandescente femelle eut enfin récupéré de ses jouissances répétées, il la jeta à plat devant lui et lui ouvrit le compas de ses cuisses pour libérer l’accès à la gaine enflammée où il fourrerait son gros engin pour l’apothéose.
    
    -Tu t’es assez dépensée, c’est à moi de conclure !
    
    -Je ne sens plus ma chatte, est-ce que je serai encore capable de prendre mon pied ?
    
    -Il est urgent que je prenne le mien, rétorqua-t-il, j’ai les couilles qui me font mal.
    
    -Laisse-moi les tripoter, murmura Céline en palpant les bourses pleines, de si belle couilles… ça y est, je repars à mouiller, tu vois avec moi, ce n’est jamais terminé.
    
    -Tu es la plus salope des salopes, mais tu me plais chérie ! Regarde, je vais te l’enfoncer dans le con…
    
    -Je la connais, elle est superbe… tu vas encore bien me piner, j’en suis sûre !
    
    Lorsqu’il posa l’ogive de sa fusée sur sa vulve, elle poussa un gros soupir d’aise et souleva son bassin pour mieux recevoir le pénis en elle.
    
    -Viens, viens, ...