Quadrifoglio
Datte: 11/10/2021,
Catégories:
fh,
fffh,
couple,
grossexe,
grosseins,
groscul,
campagne,
fsoumise,
noculotte,
ffontaine,
entreseins,
Oral
fdanus,
fsodo,
délire,
enfamille,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... coucher.
Il la prit dans ses bras et la descendit dans sa chambre fraîche, elle dormait déjà quand il la déposa sur le lit. Il la disposa comme il voulut et remonta chercher son cahier de dessin. Il la croqua sous différents angles en prenant le temps, puisqu’elle dormait, de tracer des détails d’une infinie précision. Cette femme lui plaisait. Bien plus, c’était pour lui LA femme idéale, mêmes cul et jambes que son amour, très typée calabraise, les gros seins en plus. Plus les heures passaient à la regarder et à la dessiner, plus il en était fou. Francesca l’avait bien fait jouir avec son gros cul et ses gros nichons, mais ce n’était que du plaisir, du sexe. Là, insensiblement, il tombait follement amoureux de Regina. Quand ses paupières ne tinrent plus ouvertes, les yeux rougis par tant de scrutation, il s’étendit près d’elle et l’enlaça avant de s’endormir.
Elle s’éveilla la première, appréciant la fraîcheur de l’endroit qu’elle découvrait avec étonnement. Elle avait même un peu frais et monta chercher un châle, en profitant pour faire couler un café. Peut-être attiré par la bonne odeur, le beau ténébreux émergea et tendit une pile de dessins à Regina en sirotant son breuvage matinal.
— C’est extraordinaire ! Marco, tu as un vrai talent. À travers tes yeux et ton crayon, j’ai la sensation d’être belle. Tu sais, nous les femmes, on ne voit que nos défauts. Et puis tout ce côté qu’on ne peut pas voir, le dos, les fesses… C’est très beau.
— Je n’ai plus de papier, ...
... il faut que je descende à la ville.
— Je peux t’accompagner ?
— Si tu veux.
Après sa toilette, elle alla se vêtir, portant son tailleur de deuil, comme il convenait dans le village. Marco enfila juste un jean et une veste noire par-dessus son T-shirt. Mais avant de sortir, il tâta un sein de sa belle-sœur et passa la main sous sa jupe.
— Pas de ça, dit-il fâché.
— De quoi ?
— Ni culotte ni soutif ou tu restes là.
La petite Fiat s’élança sur la route en lacets. C’était la première fois qu’il la reprenait depuis le jour du décès de Claudia. Il était ému. D’autant plus qu’il avait à côté de lui la copie conforme de ses jambes, dénudées jusqu’à mi-cuisses. Il posa sa main sur le genou, palpa, remonta lentement. Ses doigts glissaient vers l’intérieur, là où la peau est encore plus douce. Sa main remonta, entraînant le vêtement, et atteignit le buisson de poils où ses doigts plongèrent. Regina tressaillit.
— Marco, occupe-toi de la route, s’il te plaît.
— Je ne fais que ça, répondit-il en tournant le volant avec adresse du plat de la main, comme une manivelle.
Quand ils arrivèrent en ville, le sexe de la jeune femme était bouillant et liquide, elle venait d’avoir deux orgasmes clitoridiens. Elle espéra que sur le noir, la tache humide qu’elle avait aux fesses ne se verrait pas trop. Par prudence, elle préféra rester dans la voiture. Il alla seul à la librairie et acheta une demi-douzaine de cahiers, quelques feuilles plus grandes et une provision de crayons. En ...