1. Quadrifoglio


    Datte: 11/10/2021, Catégories: fh, fffh, couple, grossexe, grosseins, groscul, campagne, fsoumise, noculotte, ffontaine, entreseins, Oral fdanus, fsodo, délire, enfamille, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... style, sa perception. Ma technique est hélas, bien moins élaborée, mais je n’ai pas fait les beaux-arts. Si le temps nous avait été donné, je crois qu’elle aurait su me transmettre beaucoup plus…
    — Et ça, c’est…
    — Oui, c’est sa chatte béante juste après l’amour… Et là son cul superbe, avec les coulures de sperme qui en sourdent.
    —Mamma mia ! Redonne-moi encore du vin.
    — Voudrais-tu poser pour moi ? J’aimerais bien essayer de te croquer. Par certains côtés, tu lui ressembles beaucoup, par d’autres non.
    — C’est à dire ?
    — Je crois que vous aviez le même cul. Mais ton visage est plus typé calabrais, ton corps plus long et ta poitrine plus conséquente. J’aime les gros seins. Elle les avait plus gros quand elle était enceinte. Comme ça, regarde, je l’ai dessinée avec son gros ventre, elle était magnifique…
    — Oui, effectivement… Mais c’est quand tu veux, Marco, je veux bien poser.
    — Alors, c’est tout de suite, là, maintenant. Déshabille-toi.
    
    La grande brune obéit à ce ton péremptoire et se dévêtit pendant qu’il allait chercher un cahier neuf et des crayons. Quand il revint, il en fit le tour, la regardant sous tous les angles. Le rouge montait aux joues de la jeune femme qui se sentait comme un animal de foire.
    
    — Remets tes chaussures, ordonna-t-il. Ça allonge encore tes jambes et ça fait ressortir ton joli cul, ça fait saillir tes seins en avant. Humm… comme ils sont gros et comme ils pointent !
    
    À chaque détail physique nommé, il la touchait. Pas du bout du ...
    ... doigt, à pleine main. Et Regina tressaillait à chaque contact, pareil à une décharge électrique. Une douce chaleur irradiait dans son ventre. À sa grande surprise, il se dévêtit aussi.
    
    — Comme ça, on est à égalité. Et tu peux voir que tu me plais, que ta sœur n’a pas exagéré son dessin. Tu peux toucher si tu veux, ajouta-t-il en lui présentant sa queue.
    — N… non merci…
    — Grimpe sur la table, ordonna-t-il en retournant une chaise comme marchepied. Non, debout… Voilà, tourne un peu… regarde vers la fenêtre… très bien. Une main sur ta hanche, lève l’autre main comme si tu voulais décrocher l’ampoule… Une jambe en arrière légèrement repliée… parfait, ne bouge plus.
    
    La main courut rapidement sur le papier puis insista à divers endroits. Il ne s’écoula pas plus de cinq minutes avant qu’il ne dise :
    
    — Tu peux t’asseoir, ça te reposera.
    
    Lui continuait à crayonner, changeant parfois d’instrument ou utilisant simplement son doigt. Encore cinq minutes plus tard, il détacha la feuille du cahier et la posa sur le buffet. De ce qu’elle en aperçut, tout y était, avec une alternance d’ombre et de lumière qui donnait presque au croquis une impression de relief. Mais le regard de la Calabraise était invariablement attiré par ce pénis toujours en érection. Il la fit ensuite asseoir en tailleur, mains sur les genoux, puis s’étendre sur le dos, une jambe dans le vide, pour un nouveau croquis. Pour le dernier, il lui fit remettre les talons sur la table, jambes écartées et repliées.
    
    — ...
«12...212223...44»