Quadrifoglio - Histoires de Sexe

Quadrifoglio

... leur servit deux verres, ils trinquèrent. À la première gorgée, elle s’arrêta net :

— Hum… Qu’est-ce que c’est ? Je n’ai jamais rien bu d’aussi bon. Il n’y a pas d’étiquette.
— Devine !
— Euh… je ne sais pas, je dirais un vin français, un Alsace genre vendanges tardives ou un vin de paille du Jura peut-être ?
— Pas du tout. C’est bien plus près d’ici.
— Un vin des pentes du Vésuve ou quelque chose ?
— Non plus. C’est mon premier essai de vinification avec les grappes des vignes de ton père. Elles sont en friche, elles courent dans les herbes folles, presque redevenues sauvages, mais elles donnent encore des fruits.
— Incroyable ! Mais tu ferais un tabac avec ça.
— Ce n’est pas le but. Avec Claudia, nous cherchions à être autonomes et le plus près possible de la nature. J’ai voulu essayer, on a trouvé ça bien, bien et bio, depuis plus de vingt ans sans soins et sans traitements.
— Magnifique, j’en reprends. Et qu’est-ce que c’est que tout ça ?
— Des jouets, pour des petits jeux sexuels. Tu vas en essayer quelques-uns. On va prendre celui-ci d’abord, pour t’élargir un peu ta rondelle avant que je te sodomise.
— La sodomie ? Tu es fou ? Ça, jamais. Ce n’est pas chrétien.
— Arrête, tu ne sais pas de quoi tu parles. Il faut apprendre le plaisir et la liberté à ton corps.
— Et Claudia, elle faisait ça ?
— Bien sûr, elle adorait ça, même.

Les jeux sexuels tournèrent aux olympiades pour Francesca. Rien ne lui fut épargné. À chaque pause, elle buvait et rebuvait de ...

... ce nectar incroyable, peut-être aphrodisiaque, avant de retomber dans des océans de plaisirs fous. Des godes vibrants, des plugs de plus en plus gros lui pulvérisaient le fion et la chatte, et surtout la queue de Marco, cette queue insatiable qui la défonçait maintenant par tous les trous. Vers quatre heures et demie du matin, il déclara :

— Allez, on remonte. Il faut tout ouvrir, l’air est plus frais avant le lever du jour.

Ils ouvrirent tout en grand, fenêtres et volets, laissant l’air de la nuit circuler librement dans toute la maison. Et il est vrai que, passée la première sensation de suffocation en venant de la cave, petit à petit la maison reprenait une température supportable. Francesca dévastée, les yeux rougis et cernés de sombre tant par le plaisir que par l’insomnie, crut enfin pouvoir dormir. Mais son amant la prit par les hanches et l’emmena jusqu’à une fenêtre face à l’est.

— Regarde, la nuit pâlit, le soleil va bientôt se lever. Ce soleil de Calabre, je veux qu’il te découvre sous ton nouveau jour, enculée profondément et assumant ton nouveau statut de salope calabraise.

Les cris de Francesca se mêlèrent au chant du coq, et quand les premiers rayons de soleil inondèrent sa poitrine ballottante, la jeune femme reçut dans ses entrailles les ultimes jets de semence de son mentor. Le supplice était terminé, pensait-elle, mais non, il lui intima l’ordre de nettoyer sa queue malodorante, ce qu’elle fit sans même avoir le courage d’être encore dégoûtée. ...