1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1541)


    Datte: 11/10/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... en tirant fermement sur mes lobes fessiers… Cette posture avilissante, cette lame glissant sur cette partie intime de mon corps, éveillaient mes sens. Ma queue se raidissait, j’appréciais cette nouvelle épreuve, Madame Marie me rappelait ce besoin d’être ainsi traité. Sous son joug, vulnérable, j’assouvissais mes pulsions, avec la possibilité d’être enfin ce que j’étais ! Je me sentais brisé et soulagé ne m’expliquant pas ce sentiment ambivalent. Plus je m’enfonçais dans le vice et plus je renaissais, plus je me perdais dans ces méandres immoraux et plus je me retrouvais, moins j’existais et plus je vivais. Je ne devenais pas un esclave, je l’étais, dans ma nature profonde ! Je rendais les armes avec pour seules perspectives subir, me taire, m’offrir, accepter, progresser et me donner. C’était certain, je glissais dans la dépravation, perdais mon humanité parce qu’en proie à l’asservissement de mes sens...
    
    - Quand on est un esclave de Monsieur le Marquis, la première chose qu’il exige, c’est un corps d’esclave entièrement glabre. Et ce travail de supprimer tout poil me revient souvent… Mais par principe du temps que je passe à raser un chien ou une chienne, j’ai l’habitude de me faire payer en nature. Alors, tu vas rester en levrette sur cette table et approcher ta langue du bord. Tu vas me lécher la chatte et tu as ...
    ... intérêt de donner du plaisir, sinon gare à toi, je serai intraitable envers une lope de ton espèce. Tu es là pour notre plaisir, à nous les Dominants, alors applique-toi, ça vaudrait mieux pour toi…
    
    Madame Marie souleva sa jupe noire en skaï et je découvris un porte-jarretelle noir magnifique. Elle ne portait pas de culotte. La cuisinière s’approcha de ma bouche que je m’étais empressé d’ouvrir par crainte de ses représailles en cas de désobéissance et de son sadisme avéré. J’étais dégouté de lécher un sexe féminin, mais résigné je n’avais pas le choix, je me devais de tout accepter de par mon nouveau statut d’esclave. J’ai dû mettre une bonne dizaine de minutes passant ma langue sur son clitoris, entre les parois de son vagin, à lécher ses lèvres intimes, avant de l’entendre jouir entre mes lèvres et ma langue alors qu’elle me maintenait fermement la tête contre sa chatte de ses puissantes mains. Je buvais sa mouille par contrainte… Je pensais être tiré d’affaire quand elle m’exigea de ne plus bouger en cette position en levrette sur cette table. Elle contourna la table pour se positionner derrière moi. J’attendis en silence sans oser me retourner quand j’entendis des frottements lesquelles je compris vite leur signification. Elle était en train d’enfiler un gode-ceinture pour venir m’enculer sur cette table…
    
    (A suivre…) 
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