Seul Mâle Reproducteur Après La Fin Du Monde (4) - Histoires de Sexe

Seul Mâle Reproducteur Après La Fin Du Monde (4)

... serait super triste ! Laisse faire les pros ! Dit ma mère.

Elle s’approcha de moi et retira son haut, laissant ses seins retomber sur sa poitrine. Elle se mit à genoux et enlaça ma bite avec ses imposants seins.

Ma première branlette espagnole ! Prodiguée par ma propre mère qui plus est !

Je fermai les yeux et je profitai de cette gâterie maternelle sans bouger. Elle montait et descendait avec maîtrise le long de ma hampe. Lorsque le bas de ses seins touchaient mes bourses, elle tombait mon gland avec sa bouche.

Impossible de résister très longtemps devant tant d’expérience ! Je ré-ouvris les yeux rapidement pour alerter ma mère que j’allais jouir. Cette dernière réagit en une fraction de secondes et plaça la première fiole devant mon urètre. L’instant d’après, de longues rasades de sperme s’écrasaient au fond du récipient.

Justine tendit ensuite le flacon à Anna qui le souleva à hauteur de ses yeux.

— Incroyable ! Tu as produit 20 mL de sperme en une éjaculation ! Soit 4 fois plus qu’un homme normal !

Elle posa la fiole sur la table et se tourna vers moi.

— À mon tour, mon coquin ! Dit-elle, malicieuse.

Elle descendit son pantalon, dévoilant son fessier magnifique et rebondi.

— J’ai entendu dire que tu adorais la sodomie, Tennessee !

Et sans même attendre ma réponse, elle s’empala le petit trou sur ma bite. Heureusement le sperme de ma précédente éjaculation lubrifiait la pénétration. Anna semblait habituée à l’anal car elle broncha à peine ...

... lorsque ma bite fût rentrée complètement.

À nouveau, je fermai les yeux et je laissai faire ma partenaire. Son trou était relativement serré et stimulait parfaitement ma verge. Elle me chevaucha sans relâche pendant quelques minutes avant de laisser échapper un petit cri de jouissance. Elle ne ralentit pas pour autant la cadence et je m’approchai également de la jouissance à vitesse grand v.

Je la prévins en lui tapotant sur le dos. Elle se retira immédiatement et plaça la seconde fiole devant ma bite tout en me masturbant. Ses yeux s’écarquillèrent lorsqu’elle vit la quantité de sperme qui s’écoulait dans le petit récipient.

Elle leva à nouveau la fiole à hauteur de ses yeux.

— Encore 20 mL ! Tu es intarissable, mon bonhomme !

Elle se mordit la lèvre inférieure.

— Tu es aussi le premier à me faire jouir du cul, mon coquin ! Aucun homme n’avait réussi jusque là !

— Je n’ai aucun mérite, c’est toi qui as dirigé cette baise ! Dis-je, modeste.

— Oh mon garçon ! Je t’aimes bien, toi !

Elle me sourit avant de se rhabiller. Elle saisit les deux fioles remplies de sperme et se dirigeai vers une porte blanche au fond de la salle.

— J’en ai pour un petit bout de temps ! Nous informa-t-elle.

Et elle sortit de la pièce.

Ma mère se tourna vers moi.

— Pendant qu’elle fait ses analyses, on va rentabiliser notre temps d’attente.

Elle me tendit un sac à dos.

— Fais le tour de l’hôpital et ramène ce que tu peux ! Ordonna-t-elle. Je prends l’aile ...