Seul Mâle Reproducteur Après La Fin Du Monde (4) - Histoires de Sexe

Seul Mâle Reproducteur Après La Fin Du Monde (4)

... bol de chocolat chaud et de biscottes déjà beurrées par les soins de ma mère. Ma première bouchée fut interrompue par l’entrée de Katie, qui venait de se lever.

Sans même regarder la nourriture qui se trouvait sur la table, elle se dirigea vers moi, m’embrassa rapidement et me tira par le bras. Elle me fit m’asseoir sur le canapé, mon bol à la main. Tout en déboutonnant mon pantalon, elle dit :

— Surtout, ne fais pas attention à moi. Mange tranquillement, je m’occupe de tout.

J’acquiesçai, la bite plus dure que jamais. Elle descendit mon pantalon et mon boxer et ne prit même pas le temps de me lubrifier. Il faut dire que ça n’était pas nécessaire, sa chatte était déjà dégoulinante de cyprine.

Elle s’assit directement sur ma bite et commença à me chevaucher sans répit. Comme ce genre de choses allait devenir monnaie courante, je pris donc tranquillement mon petit-déjeuner sans faire attention à la bombasse qui s’éclatait la rondelle sur ma queue. Elle semblait très bien se débrouiller toute seule.

Bien sûr, les demoiselles à table ne perdaient pas une miette de la scène qui se déroulait sous leurs yeux avides. Néanmoins, Rose eut quand même la gentillesse et la présence d’esprit de m’apporter de nouvelles biscottes à tremper dans mon bol de lait.

Je les mangeai, affamé par ma dépense énergétique de la veille. Lorsque ma dernière biscotte fut descendue dans mon estomac, je portai directement le bol à mes lèvres pour en boire son contenu. Et c’est à ce ...

... moment là que ma queue se décida à éjaculer.

Une vague de plaisir m’envahit, me faisant cracher tout le liquide que j’avais en bouche devant moi. Sur Katie. Elle me sourit, amusée.

— Bah alors ! Tu n’arrives pas à encaisser un petit orgasme, Casanova ? Se moqua-t-elle.

Je lui saisis les fesses. Je n’avais toujours pas débandé.

— Tu veux jouer à ça ? Tu vas être servie, ma cocotte ! Lui répondis-je, boosté par sa provocation.

Elle n’eut pas le loisir de me répondre car je l’avais empalée sur ma bite au plus profond de son cul. Le sperme aidant, mes allers-retours dans son cul étaient vivaces. Son anus était extrêmement serré et il était très agréable de s’y frotter.

Katie, elle, semblait dans un état second. Ses yeux étaient quasiment révulsés et de la bave coulait de sa bouche ouverte. Elle ressemblait étrangement à une marionnette désarticulée et sans volonté aucune. Elle subissait mes assauts et semblait avoir un orgasme qui n’en finissait pas.

Un brouhaha inintelligible m’environnait. Je sentais qu’il se passait quelque chose autour de moi mais je ne parvenais pas à porter mon attention sur autre chose que sur Katie.

Je sentis le jus monter, mais d’une manière plus intense qu’à l’accoutumé. Comme si j’avais échangé une 2-CV contre une Ferrari surpuissante et inépuisable. Je me rappelai juste à temps que je devais féconder ma partenaire et je me retirai donc de ce petit trou fort confortable pour me réinsérer dans le trou de vie de Katie.

Plusieurs ...