Seul Mâle Reproducteur Après La Fin Du Monde (4) - Histoires de Sexe

Seul Mâle Reproducteur Après La Fin Du Monde (4)

... descendre jusqu’à tes couilles sans que ça dépasse son col, commença ma mère.

— C’était une sensation plutôt incroyable ! Affirma Noémie, en se mordillant la lèvre inférieure.

— D’après toi, combien de fois as-tu éjaculé ? Demanda ma mère.

Je ne me souvenais pas avoir éjaculé du tout.

— Euh… aucune, répondis-je.

Ma mère et ma partenaire se regardèrent.

— Tu as éjaculé beaucoup de fois, Tennessee…

Qu’est-ce qu’elle racontait ? Je n’avais pas joui du tout !

Ma mère pointait du doigt le vagin de Noémie. Lentement, je dirigeai alors mon regard vers cette zone. Du sperme dégoulinait de son trou. Beaucoup. Beaucoup trop. On aurait dit que c’était un cheval qui avait éjaculé en elle, pas un homme. Noémie tentait de contenir le sperme avec ses mains mais c’était peine perdue. Un flot ininterrompu s’écoulait le long de ses jambes. Ma mère, par réflexe, la força à s’asseoir. Elle se tourna ensuite de nouveau vers moi.

— Tennessee, tu as éjaculé plus d’une dizaine de fois dans sa chatte en une demi-heure seulement. C’est absolument hallucinant !

En effet, c’était impressionnant. Le plus bizarre dans tout cela était que je me sentais d’attaque pour une nouvelle partie de jambes en l’air. Mes bourses me semblaient toujours pleines à craquer de spermatozoïdes prêts à féconder.

Soudain, Justine se redressa pour demander :

— Quelle heure est-il ?

Je regardais ma montre.

— 16h04 !

Ma mère réfléchit quelques secondes avant d’ordonner :

— Très ...

... bien ! On a largement le temps avant le coucher du soleil ! Va chercher Anna, elle est docteure et analyste. On va avoir besoin de ses talents là où on va. Elle est sûrement dans le garage.

J’obéis sans réfléchir et quelques minutes plus tard, nous étions tous les trois dans la voiture de ma mère. Cette dernière conduisait tandis qu’Anna lui indiquait le chemin. J’étais seul à l’arrière, me demandant bien ce que ma mère me réservait.

Une dizaine de minutes plus tard, nous arrivâmes devant un bâtiment d’un blanc immaculé. Sur la devanture, on pouvait lire, en lettres gigantesques, "Centre Hospitalier et Laboratoire d’Analyses".

Nous entrâmes et traversâmes un dédale de couloirs avant d’entrer dans une pièce. Ma mère se décida enfin à s’expliquer.

— Je veux qu’Anne vérifie ton sperme. Tu en produit énormément et je veux savoir si la qualité ou la quantité de spermatozoïdes sont altérées.

Je restai bouche bée. Anna prit à son tour la parole.

— Pour cela, j’ai besoin de plusieurs échantillons de ton sperme. Il faut donc que tu éjacules dans ces fioles.

Elle me présenta 2 récipients en verre et les posa sur la table devant moi. Je compris immédiatement le message et je descendis mon pantalon. Je m’assis sur le fauteuil qui faisait face à la table et je commençai à m’astiquer.

Ma mère et Anna éclatèrent de rire à côté de moi. Je me retournai, surpris.

— Il y a un problème ? Demandai-je, inquiet.

— On va pas te laisser te masturber comme ça tout seul ! Ça ...