1. Comment je suis devenue la salope de la cité ... (8)


    Datte: 09/10/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: hélène75, Source: Xstory

    ... déchire l’emballage de l’objet, le nettoie avec du gel hydroalcoolique puis l’essuie bien avec un kleenex propre. Elle sort ensuite un petit flacon de gel de sa poche, en enduit la tête du plug et me dit
    
    — Penchez-vous légèrement vers l’avant et décontractez-vous bien.
    
    Je fais ce qu’elle me demande et je sens ses doigts souples enduire mon petit œillet de gel lubrifiant. Puis elle pose l’une de ses mains sur mon ventre et la descend dans mon string. Ses doigts caressent ma fente. Tel un médecin avec une patiente, elle poursuit
    
    — Ne soyez pas inquiète, c’est pour vous aider à penser à autre chose.
    
    Ses doigts doivent devenir tout gluant sous le foutre qui s’échappe encore de ma chatte. Elle me dit en insistant un peu plus sur mon bourgeon
    
    — On dirait bien que vous vous êtes offerte un petit extra il n’y a pas longtemps.
    
    Je n’ai pas le temps de lui répondre que, de son autre main, elle pousse le plug et l’introduit bien profondément entre mes fesses.
    
    En remontant du sous-sol, j’ai une démarche pas très naturelle car, avec le plug bien planté en moi, cela me gêne un peu. Cela fait rire la jeune black qui monte les marches derrière moi et elle me rassure
    
    — Ne soyez pas inquiète, vous allez rapidement vous habituer et, dans quelques jours, personne ne pourra se douter que vous le porté.
    
    Dans le métro, la situation est des plus excitantes. Que penseraient tous ces gens s’ils savaient que je viens de me faire baiser par deux inconnus dans un cinéma porno ...
    ... de Pigalle et que je voyage avec un gros plug bien planté dans les fesses ? Si jamais un homme ose me mettre la main au cul, il va être bien surpris. Après avoir tâté la souplesse de mes fesses, il va découvrir la dureté de la pierre précieuse qui orne le plug. Oui, j’ai un gros bijou bien planté en moi et cela me fait de douces sensations partout.
    
    Plus tard à la maison, alors que nous sommes à table avec Edouard en train de dîner, mon téléphone bippe et le contact SCM-Stains s’allume. Je dis à Edouard
    
    — Tiens, c’est le service social de la mairie de Stains ! Il ne doit pas y avoir urgence. Je lirai et répondrai à leur message après le dessert.
    
    Bien évidemment, je ne vais pas lui dire que SCM c’est pour Soumise Cité Maroc et que c’est ainsi que j’ai répertorié Rachid dans mes contacts.
    
    Edouard est maintenant au salon et j’en profite pour m’isoler et lire le message de celui que je considère déjà comme mon maître. Rachid m’écrie « Nadiya, RDV demain à 16h30 chez Bourhane Tatoo, 23 rue Durantin dans le 18e ».
    
    Je sais que je ne dois pas chercher à comprendre et deviner ce qui m’attend à ce rendez-vous. Puisque je considère Rachid comme mon maître, je dois m’exécuter. Demain j’irai donc là où il me dit d’aller !
    
    Je me couche avec le plug bien planté en moi, je sais que mon mari ne va pas chercher à m’entreprendre. Si ce n’est pas moi qui vient à lui, il va rester plongé dans son journal. Aujourd’hui j’ai eu ma dose d’hormones masculines, pas besoin de prendre une ...
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