1. Comment je suis devenue la salope de la cité ... (8)


    Datte: 09/10/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: hélène75, Source: Xstory

    ... Mac Do. Je n’ai pas atteint le passage piéton que les deux hommes me rattrapent et l’un me dit
    
    — Vous serions ravis de vous inviter. Nous aussi nous avons envie d’un bon café.
    
    Deux minutes plus tard, nous sommes installés à la terrasse du Mac Do avec nos cafés. Assise entre eux deux, je veille à bien croiser mes jambes pour que les pans de mon trench coat s’écartent et qu’ils puissent admirer mes jambes gainées de fins bas couleur chair.
    
    Au bout de dix minutes, je me décide à poursuivre mon jeu. Je me lève et je leur dis
    
    — Je vous remercie beaucoup pour votre invitation. Maintenant, si cela ne vous ennuie pas, je vais vous quitter et rentrer quelques instants dans le cinéma juste à côté.
    
    Avant qu’ils m’aient répondue, je me lève et pars sur le trottoir juste à droite du Mac Do. Il y a là un ciné X, l’Atlas, dont j’ai découvert l’existence en visitant un site internet nommé Lieux de drague.
    
    Bien évidemment, je n’ai pas atteint la caisse située dans le hall de l’établissement que les deux jeunes beurs m’ont déjà rejointe. L’un me dit
    
    — Vous êtes si gentille et charmante que nous vous invitons là aussi !
    
    A la caisse, il y a là un vieux black qui nous regarde avec surprise mais il encaisse tout de même prestement le billet que lui tend mon accompagnateur. Deux portes s’ouvrent devant nous, l’une mène à la salle en sous-sol et l’autre à la salle du rez-de-chaussée. Nous choisissons cette dernière et entrons. Une fois le pas de la porte passée, nous nous ...
    ... immobilisons tous les trois pour que nos yeux s’habituent à l’obscurité. Une fois que c’est fait, nous découvrons qu’il s’agit en fait d’une double salle puisqu’il y a comme un balcon au niveau supérieur. Mes deux escort boys m’entraînent vers les escaliers qui mènent au balcon. Une fois que nous y sommes, nous nous installons sur la première rangée de fauteuils ; moi au milieu.
    
    Bien vite, nous constatons que ce n’est pas un film d’art et d’essai qui est projeté, mais nous nous en doutions ! Les dialogues – si on peut appeler ça ainsi – sont en américain. Mais nul besoin de parler la langue car les images parlent d’elles-mêmes. La scène est champêtre, dans une sorte de square en ville, et met en présence une belle blonde aux formes généreuses et un groupe de quatre hommes qui semblent être des SDF. La femme promène son chien et les quatre hommes la suivent et l’importunent. Elle essaye de leur échapper mais ils l’entourent déjà et l’entraînent dans un bosquet à l’abri des regards. Le pauvre chien, tout rikiki et pas plus gros qu’un hamster, ne peut évidemment pas mettre en fuite les opportuns.
    
    Quelques instants plus tard, la blonde semble beaucoup plus coopérative puisque la voici allongée dans l’herbe avec la jupe troussée jusqu’au-dessus de la taille. A partir de là, les dialogues ne sont plus qu’une succession d’onomatopées intraduisibles mais bien compréhensibles.
    
    La scène doit émoustiller mes deux voisins qui se tortillent un peu sur leur siège et glissent une main ...
«1234...7»