1. Mes deux seins malgré elle


    Datte: 05/10/2021, Catégories: fh, voisins, grosseins, groscul, ffontaine, Oral préservati, pénétratio, fsodo, rencontre, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... peux solliciter une faveur ?
    — Dites ?
    — Vous pourriez me présenter vos dispositifs de lactation ? J’ai très envie de les voir.
    — Accordé à une condition expresse : pas touche ! D’ailleurs, vous ne bougez pas, pas encore.
    
    Waouh ! Je n’aurais jamais dû promettre quand je vois les deux obus sortir de leurs coques de dentelle. Nom de Zeus quelle poitrine ! Du beau, du gros, du ferme, de l’arrogance extrême dans une enveloppe de chair blanche aux bouts rose orangé. C’est ça l’origine du Munster ? Pas de souci, je fais la trayeuse ! Ma bouche béante ne trouve pas les mots pour exprimer mon admiration et mon désir ardent qu’elle doit sentir au fond de son ventre. Mais ma belle Clotilde coupe court à mon mutisme ébahi :
    
    — Chut ! Profite Jérôme, laisse-toi faire.
    
    Elle se courbe pour bécoter mes tétons, se creuse pour frotter les siens sur mon torse, et quand les quatre mamelons se superposent, ses lèvres charnues viennent butiner les miennes. C’est bon, c’est doux. Puis sa bouche se fait plus vorace, sa langue force sa voie entre mes lèvres, et nous échangeons notre premier baiser profond, interminable, passionné. Son bassin s’agite alors, oscillant doucement d’abord pour étirer ses muqueuses étroites, puis de plus en plus frénétiquement. Elle se dresse alors sur ses bras tendus, reprenant souffle et rejetant sa tête en arrière et martèle mon ventre à un rythme effréné. Je demeure interdit, bandant de tout mon sang et contemplant le spectacle étourdissant de cette femme ...
    ... superbe prenant son plaisir sur ma queue. Elle souffle à grand bruit, sa chevelure mordorée fouette l’air juste avant qu’elle ne se tétanise en soubresauts furieux. Couverte d’une fine buée de sueur, elle retombe sur ma poitrine, vaincue par le plaisir. Je caresse doucement son dos, ses épaules, sa nuque. Après un long moment, elle se redresse à demi, écarte ses mèches folles et me regarde amoureusement de ses yeux injectés.
    
    — C’est trop bon… J’en mourrais d’envie depuis si longtemps… J’étais sûre que ce serait grandiose…
    — Moi aussi tu sais, six mois au moins que je rêve de ce moment.
    — Je sais, je le sens bien. Mais je t’ai laissé sur le bord du chemin, je suis navrée…
    — Ne le sois pas, tu n’as plus qu’à recommencer. Mais fais-moi une faveur : retourne-toi que je voie ton somptueux postérieur engloutir ma queue.
    
    Elle n’hésite pas un instant, se rétablit et pivote autour de mon sexe en le gardant planté en elle, délicieuse torture. Sa rotondité callipyge m’apparaît soudain, phénoménal étau de plaisir qu’aucun interdit ne m’empêche de saisir à pleines mains. En appui sur mes jambes tendues, elle entame ses mouvements de piston. Jamais mon sexe n’avait été gobé par une telle croupe, charnue, puissante et tendre à la fois. Cette fois, c’est moi qui donne le tempo, bien décidé à me prendre un pied magistral. Mais elle a mille ressources, la coquine. D’abord, je sens l’une de ses mains venir me triturer les testicules, faisant monter d’un cran mon plaisir. En même temps, ...
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