1. Mes deux seins malgré elle


    Datte: 05/10/2021, Catégories: fh, voisins, grosseins, groscul, ffontaine, Oral préservati, pénétratio, fsodo, rencontre, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... D’abord, ayant enfin goûté au délice de palper ses glandes mammaires, j’essaye de la convaincre de m’y laisser un accès, contrôlé bien sûr.
    
    — Tu vois, mon fantasme n’est pas de les pétrir comme des boules de pâte à pain. Ce serait plutôt d’en sucer délicatement les pointes, d’en lécher les aréoles, de les titiller avec mon gland… Juste un plaisir et une excitation supplémentaires.
    — Alors, quand tu parles deta bouche, deta langue et deta bite, ce sont des organes uniques, un seul sein à la fois. Il me semble que ce doit être possible. De ce que je ressens, c’est comme si j’avais trois clitoris. Et quand les trois sont excités en même temps, c’est là que je pars en vrille. Isolément, on peut essayer, mais à la condition expresse que quand je dis STOP, tu t’arrêtes.
    — Ça va de soi. Mais dis-moi, tout à l’heure je n’avais que deux doigts dans ta chatte sans te toucher les seins ?
    — C’est vrai, mais je ne sais pas ce qui t’a pris de me faire ça, c’est redoutable.
    — J’avais vu ça dans un porno japonais, avec les mêmes conséquences. Ça fait gicler les dames.
    — Ouais ben… c’est pas pour moi. Ça excite ce qu’on appelait le « point G », qui n’est en fait que le « ventre » du clitoris, le bas du « S » qui se termine par le petit bouton qu’on connaît et qui se prolonge par deux grandes ailes de part et d’autre du vagin. Ce doit être une zone d’innervation maximale, le centre de pilotage de ce réflexe incontrôlé.
    — Possible docteure, je veux bien te croire.
    — Et tu en as ...
    ... encore des fantasmes comme ça ?
    — Oui, mais celui-là il est irréalisable. En te voyant marcher de dos, je rêve d’avoir un sexe amovible que je pourrais te placer entre les fesses et qui se ferait délicieusement broyer quand tu marches. Je suis fou de ton postérieur.
    — Ha ha ha ! Ça, j’avais remarqué. Mais je t’imagine en train de marcher collé à moi, les jambes écartées pour fourrer ta queue entre mes fesses. Ah le tableau croquignolet !
    — Tu lis trop de bandes dessinées.
    — Non, jamais, pas le temps. Ah, mais j’y pense… c’est pas complètement impossible.
    — Comment ça ? Tu veux m’opérer et garder mes attributs dans un bocal ?
    — Non, mais marcher sans bouger, j’ai ce qu’il faut : mon tapis de marche ! Je marche en restant sur place alors en te mettant derrière moi, les pieds de chaque côté du tapis, ça pourrait le faire, non ?
    — Ok. On essaye demain.
    
    Bon. Il a fallu cinq essais. Elle s’est fait virer deux fois du tapis, on est tombés une fois par terre, il a fallu trouver la bonne position, un peu penchée en avant, démarrage lent… Mais on y est arrivé. Putain ce bonheur ! La bite broyée, à droite, à gauche, et on accélère. J’ai tenu presque dix minutes d’un enfer paradisiaque. Orgasme partagé, nouvelle expulsion du tapis, intense rigolade de bonheur.
    
    — Il est super ton fantasme chéri. J’ai la chatte explosée.
    — Et moi, la bite en chou-fleur. Mais quel pied !
    — Regarde le compteur : tu peux tenir un kilomètre sans débander. Magnifique !
    — Attends, toi tu as fait le ...