1. L'étudiante et le cinéma.


    Datte: 01/10/2021, Catégories: Première fois Auteur: Juridicité, Source: Hds

    ... baiser devait être une consécration pour Sophie, le début et la fin du film. Lorsqu’on se rend au cinéma pour la première fois avec la personne qu’on aime, on donnerait tout pour un baiser, mais pour rien d’autre qu’un baiser.
    
    Je n’aimais pas Sophie. Je ne partageais pas la sensation des papillons qui explosent au dessus de l’abdomen. Ce baiser ne me suffirait pas, je voulais utiliser sa bouche autrement.
    
    Après que Sophie eut repris ses esprits, je déposai ma main gauche sur sa cuisse afin de la caresser coquinement. Mes doigts, malhabiles à l’époque, se glissaient progressivement entre ses cuisses afin de la caresser par dessus son jean. Sophie aimait ça, mais je compris rapidement par ses réactions que cette jeune vierge ne me laisserait pas aller plus loin.
    
    Personne n’avait encore accédé à l’intimité de cette étudiante, ça ne serait pas moi, pas dans de pareilles conditions. Je suppose qu’il lui eut fallu un lit, un peu plus de temps et un peu plus de parlotte.
    
    Mais bordel, moi j’avais faim. Je pris sa main et la guida sur mon corps, sur mon torse, puis jusqu’à l’intérieur de mes cuisses… Elle ressentit alors mon large sexe en érection, sous mon pantalon beige.
    
    On en a rien à faire de ce pantalon beige, et j’avais encore moins de considération pour lui à l’époque, raison pour laquelle je pris sur moi de le baisser afin de découvrir mon caleçon. Sophie avait directement la main sur celui-ci. C’était la première fois de sa vie qu’elle sentait le sexe d’un ...
    ... homme sous ses petits doigts.
    
    Je décidai alors de tout retirer afin de me confronter directement à la sensation de la main de Sophie sur ma queue en érection. Quelle douceur.. Je dus déposer ma main droite sur le poignet de la jeune étudiante afin de l’initier au mouvement : ça y’est, cette femme amoureuse me branlait au beau milieu d’un cinéma vide.
    
    Tout ça était insuffisant. Dans mes rêves, c’était de la bouche de Sophie que je profitais, pas de sa main. Je me retrouvai alors à glisser ma main gauche dans ses cheveux tandis qu’elle me masturbait, mes lèvres s’approchèrent de son visage afin de lui murmurer « va poser ta bouche là-dessus ».
    
    Elle n’eut pas le temps de répondre à mon ordre que ma main poussait son visage vers mon sexe en érection. Elle se laissa faire. L’amour rend dépendant.
    
    Elle m’embrassa tendrement le sexe avant de laisser ses lèvres épouser instinctivement la forme de mon gland. Sophie était vierge, sa bouche également, mais bordel qu’elle était douce.
    
    Sa bouche descendit progressivement sur ma queue pour m’offrir des vas et viens généreux. J’adore les femmes amoureuses, elles sont systématiquement passionnées. Elle me donnait ce que je voulais, je lui donnais en échange un peu d’espoir : « Hmm’, c’est bon petit Ange ».
    
    Ces mots, semblables à des mots d’amour, lui faisaient sucer plus intensément ma queue. Je ne m’en privais plus : « Mange moi petit coeur... ».
    
    Me voilà au beau milieu d’un cinéma vide, avec une femme éprise de passion en ...