Jeux de plage
Datte: 28/09/2021,
Catégories:
fff,
jeunes,
plage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
massage,
caresses,
intermast,
lesbos,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... pardon ! Je suis allée trop vite, s’excuse-t-elle en suspendant son geste.
— Non, ça va. C’est sans doute qu’il est temps. Continue, il vaut mieux en mettre partout.
Elle reprend son arrosage, s’appliquant à suivre les vertèbres de la nuque au coccyx. Mes frissons la font rire.
— Ce que tu es chatouilleuse, Marraine ! On dirait Marion, me taquine-t-elle.
— Arrête de te ficher de moi, étale bien plutôt. Je sens que j’en ai besoin.
Ses mains me parcourent le dos, légèrement d’abord, pour répartir le lait de façon uniforme, puis se font plus pressantes pour le faire pénétrer dans les pores. Ses pouces appuient sur ma colonne avant de s’en éloigner en suivant les côtes, tandis que les autres doigts poussent doucement sur la peau. Un côté est plus massé que l’autre, mais dans l’ensemble c’est plutôt agréable. Assez, même, pour que l’interruption me déconcerte.
— Je suis mal placée, m’explique-t-elle. Ça t’ennuie si je me mets à cheval sur tes jambes ?
— Ce sera plus confortable pour toi, en effet, et si c’est meilleur pour moi, je n’ai rien contre ! Tu as un vrai don pour le massage, Brigitte. Tu pourrais devenir masseuse…
Ma remarque l’amuse.
— Non ! Mais j’aime bien… Ce sont les amies de Maman qui m’ont appris. Tu sais, celles qui travaillent à l’hôpital, précise-t-elle en enjambant mes cuisses.
Chantal m’en a parlé, c’est exact, mais je ne les connais pas (à bon entendeur, salut !). Elle se recule pour s’installer plus commodément. Je sens les bords de ...
... ses lèvres intimes caresser l’intérieur de mes genoux. Peau fine contre peau sensible, je resserre mes cuisses. Elle se méprend.
— Je te fais mal ? Je peux me relever un peu, si tu préfères.
— Tu n’es pas si lourde ! Pose-toi comme c’est le mieux pour toi, et ne t’occupe que de mon dos… Sans oublier les fesses !
Mon allusion à sa propre demande l’égaille à nouveau et elle se détend complètement. Cette fois, la tiédeur de son sexe se communique directement au pli de mes jambes. Elle le ressent sans doute aussi. Nous ne l’évoquons ni l’une ni l’autre. Je reprends la parole pendant qu’elle étend une nouvelle rasade d’ambre solaire sur mes reins.
— Tu t’es entraînée souvent depuis que les amies de ta mère t’ont montré comment faire ?
— Plusieurs fois, oui, est-elle ravie de répondre. Pour masser Maman quand elle a mal au dos, sur Sandra aussi… Elle, elle n’arrête pas de bouger ! Et aussi avec Marion. Là, c’est difficile, parce qu’il faut presque la tenir tant elle craint les chatouilles !
— Et sur Babette, jamais ?
La question la surprend au moment où elle presse le flacon en direction de mes fesses et son geste dure plus que nécessaire. Une coulée visqueuse s’insinue au milieu. Je me contracte.
— Heu… sur Babette… Si… quelques fois, hésite-t-elle sans s’apercevoir de sa maladresse. Je… je n’aurais pas dû ?
— Au contraire, tu as bien fait ! Il faut toujours transmettre ses connaissances et vous êtes suffisamment amies pour faire tout ce que vous voulez entre ...