Jeux de plage
Datte: 28/09/2021,
Catégories:
fff,
jeunes,
plage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
massage,
caresses,
intermast,
lesbos,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
Résumé des épisodes précédents :
«Julia : hasard et affinités », «Julia : aveux et amitié », «Christine : gym et copinage », «Christine : confidences et romance », «Christine : invitation et conséquences », «Retour aux sources »
Pour rappel de l’avant-propos :
Journal de Christine
Jeudi 09/07, soir, chez Chantal :
Je suis punie !
Mon péché ? J’ai batifolé plus que de raison avec les voisines de plage auxquelles Julia et Chantal avaient confié la surveillance de ma fille lorsqu’elles sont allées se rafraîchir à la paillote. La vraie raison est une circonstance aggravante : j’ai poussé un peu (très) loin la découverte de ces nouvelles connaissances sans en informer mes deux amies.
Ma pénitence est de coucher sur mon journal les évènements de cette après-midi pendant que les autres se promènent. Voilà pourquoi je suis revenue directement chez Chantal après le restaurant, au lieu d’aller comme elles visiter S* T* by night, avec les deux récentes copines de la plage, qui plus est !
Mais j’accepte ma punition. Déroger, même involontairement, à notre règle de transparence et de convivialité mérite d’être sanctionné. Rédigeons donc notre pensum, qui d’ailleurs n’en est pas un, et revivons pour notre plaisir les heures passées dans le plus simple appareil, « au bord de la grande bleue » comme l’écrit une de mes clientes sur la publicité de son hôtel.
Donc, nous arrivons enfin, Julia, Chantal et moi, sur le bout de sable dont notre jeune avant-garde a pris ...
... possession. Le soleil tape dur, nous sommes déjà en nage. Je ne vois rien de plus urgent que de me dépouiller en vitesse du moindre textile pour aller piquer une tête, en abandonnant lâchement mes compagnes. De toute façon, nos résolutions sont prises et elles sont assez nombreuses pour installer le campement sans mon aide.
Je bulle près du rivage en faisant la planche, bras étendus et jambes ouvertes. L’eau baigne délicieusement ma chatte, mes oreilles captent le bruissement sourd de la mer, je sens le clapot ballotter mollement mes seins. De temps en temps, je flotte sur le ventre, en apnée, pour rafraîchir ma poitrine et exposer mes fesses. Un coup face, un coup pile, je suis bien.
Remue-ménage qui se rapproche, cris et éclaboussures, vague qui me submerge. Je ferme les yeux et la bouche, bras et jambes en croix pour la flottabilité. Une troupe me dépasse, giclant l’eau autour d’elle, me remuant dans son sillage. Voix mâles, un peu trop haut perchées, qui accompagnent le tsunami (mini tsunami, quand même !). Des ados ? D’aussi près, ils auront une vue directe sur l’origine du monde… M’en fiche ! Après tout, qu’ils regardent si ça peut les instruire.
Le raz de marée se retire, je me mets debout, reprends ma respiration, lolos au ras de l’eau. Cette plage est une bénédiction, on a pied très loin. J’inspecte la grève, curieuse de voir qui m’a bousculée sans vergogne, et j’éclate de rire. Si je me fichais qu’ils voient ma foune, eux se fichaient bien plus de la lorgner ...