Jeux de plage - Histoires de Sexe

Jeux de plage

... sol. Sandra profite que Marion dégrafe son soutien-gorge pour lui baisser la culotte à mi-cuisses. L’autre veut se venger en faisant de même et elles commencent à batailler comme deux jeunes chattes.

Évidemment, elles finissent par rouler sur elles-mêmes, les doigts crochés dans les dentelles, jusqu’à se couvrir de sable des pieds à la tête et de constater piteusement le résultat de leur chamaillerie. C’est un peu ma faute, j’aurais dû intervenir tout de suite.

— Vous êtes bien avancées, maintenant, mes chéries ! Allez vous nettoyer dans la mer et n’oubliez pas de rincer aussi vos culottes. Soigneusement, si vous ne voulez pas vous râper la foufoune en les remettant.
— Mais, Marraine, elles vont être toutes mouillées, me répond Sandra en maugréant, Y’a qu’à bien les secouer !
— C’est ça ! Si tu crois qu’il ne restera pas de grains pour se fourrer dans ton minou, tu n’as qu’à essayer !
— Oh ben, oui, je me souviens, confirme Marion. Ça m’est déjà arrivé, j’étais toute rouge ! Allez, viens Sandra, Ma… Julia a raison.

Si elle n’ose pas encore m’appeler spontanément « Marraine », elle veut me montrer qu’elle me fait confiance. Une chose la turlupine, cependant :

— Comment on va faire, pour les faire sécher ?
— Accrochez-les au parasol, le soleil s’en chargera. Mais coincez-les bien. Si elles tombent, ce sera pire ! Vous seriez obligées de vous en passer, souris-je.
— Même pour aller au restaurant ?
— Hé oui, je ne vais pas vous donner la mienne !

Je ne suis ...

... pas sûre que l’idée ne leur soit pas venue… Elles pouffent et partent se tremper. Je me tourne vers Brigitte qui s’est désintéressée des gamineries de sa sœur et de sa copine (je devrais dire : de ses sœurs, tant Sandra et Marion sont en symbiose), et qui se passe sagement du lait de protection sur le devant du corps.

— Prête-moi le flacon, ma puce. Je t’en passe sur le dos, si tu veux. Et après, tu pourras t’occuper du mien, pendant qu’elles se baignent ?
— Bien sûr, Marraine, avec plaisir. N’oublie pas d’en mettre sur mes fesses, s’il te plaît.

(Oh que non, je ne vais pas oublier !) Ce n’est pas ce que je lui réponds, mais je la rassure et je la remercie.

Je répands le lait sur ses omoplates et l’étends soigneusement des épaules au creux des reins. Sa peau est douce et fine, un vrai plaisir au bout des doigts ! Elle aussi semble apprécier mon massage en ronronnant de contentement. Je remets quelques coulées sur ses fesses avant de pétrir avec bonheur son joli cul bombé qu’elle me tend sans façon. Je termine en passant une main légère dans le pli de chaque fesse, en haut de ses belles cuisses pleines qu’elle écarte tout aussi naturellement. Une petite tape amicale lui signale de reprendre le flacon.

— À toi maintenant, dis-je gaiement en m’allongeant à plat ventre sur la première natte venue.

Le contact d’un liquide plus frais sur une peau déjà échauffée surprend toujours. Je n’échappe pas à la règle et Brigitte s’inquiète de mon sursaut involontaire.

— Oh, ...