Le passé de John (9) - Histoires de Sexe

Le passé de John (9)

... dirige ma vie ne met pas longtemps à m’arracher mes premiers gémissements rauques et puissants, tant elle me burine bien. Les va-et-vient en moi sont si bons que j’en oublie totalement que je suis au milieu d’une petite foule d’inconnus.

Une machine est ramenée, je n’en n’ai vu qu’en catalogue, mais je sais que c’est un appareil fait pour baiser. Elle est positionnée sous moi et le piston de plastique est retiré de ma partenaire soumise pour être vissé sur la tige de métal destinée à me mettre au supplice. Justine allume la machine qui s’anime en très lents et amples mouvements, dans un premier temps, ce qui lui permet de l’ajuster pour que ce gode enduit de cyprine visqueuse puisse entrer dans mon anus distendu.

La machine va d’abord lentement, bien plus que n’y allait Justine lorsqu’elle me prenaitjuste avant. Ma maîtresse vient m’asséner quelques coups de cravache ici et là. Les plus terribles, et en même temps les plus excitants, sont ceux qui arrivent droit sur mes tétons. À chaque fois que je laisse échapper un ...

... gémissement un peu plus fort que les autres, elle appuie sur le bouton de la télécommande de la machine pour la faire accélérer. Très vite, le rythme est hallucinant et je gémis encore et encore ; je n’arrive plus à m’arrêter d’exprimer mon plaisir, dans un terrible et puissant orgasme qui me submerge. De nombreux jets de spermes jaillissent de mon sexe comme l’eau d’un geyser et retombent sur mon ventre. La machine continue de me pilonner, comme un marteau piqueur martèle le béton ; pour le bon plaisir de ma maîtresse et des spectateurs.

— Pitié Maîtresse je n’en peux plus là !

— Qu’est-ce que j’y gagne petite lope ? Et ton public qui t’aime ?

— S’il vous plaît, n’importe quoi !

— Très bien, on va en rester là pour cette fois, mais tu vas devoir te souvenir que tu me dois un énorme service alors.

— Oui maîtresse…

Justine, ce jour-là, à cause de ma faiblesse du moment, de la situation qu’elle a créée, et grâce à l’amour que je lui portais encore, a acquis un grand pouvoir. Elle n’allait pas tarder à en faire usage...