Le passé de John (9) - Histoires de Sexe

Le passé de John (9)

... visage.

— Lèche-moi ! Essuie-moi !

Je suis galvanisé par ses ordres et la tension sexuelle entre nous. Je me lance à l’assaut de sa chatte velue, aux poils humides de pisse, avec une passion que je n’aurais pas cru possible en pareille circonstance. Je m’applique avec soin à lui arracher un terrible et délicieux orgasme tout en lui prodiguant ce nettoyage atypique.

— Une fois encore, tu ne me déçois pas du tout John. Tu es un très bon soumis et tu as eu l’air de beaucoup aimé ce que tu as fait. Allez viens, on va te nettoyer un peu.

Elle tourne le robinet et l’eau coule. C’est froid, mais ce n’est pas du luxe de pouvoir profiter d’une bonne douche avant de retourner à la soirée. Je vois dans les yeux de Justine que je n’ai pas fini de goûter à cette nouvelle pratique, qu’elle semble grandement apprécier.

Nous retournons au cœur de ce petit club, dans une pièce sombre, à l’éclairage rouge tamisé. Ici, Justine se dirige vers un homme en costume trois pièces, au look impeccable, d’une quarantaine d’année environ. Elle glousse comme une écolière devant lui et il la gratifie d’une fessée alors qu’elle se tourne dans ma direction pour, d’un simple signe de la main, m’inviter à me diriger vers des accessoires pendant du plafond.

Aidé de plusieurs personnes, je m’installe dans une balançoire, les fesses bien calées et les jambes relevées. Une femme vêtue d’une combinaison faite de lanières de cuir, avec un bâillon dans la bouche, vient près de moi pour passer des ...

... anneaux épais et rembourrés au niveau de mes chevilles ; ils font office d’étriers desquels je ne suis pas censé sortir. Elle a environ trente ans, peut-être moins, blonde, les yeux noisette.Mais ce sont ses tétons qui me fascinent le plus. Ils sont bandés comme jamais je n’en ai vu avant, des monts solitaires au milieu d’aréoles énormes, percés d’un anneau chacun et reliés par une chaîne à laquelle est accroché un poids dans le genre d’un gros plomb de pêche. Cette soumise, que je découvre,reçoit l’ordre de s’occuper de moi ; elle approche sa langue de mon œillet avant de l’humecter de sa salive à l’aide de sa langue. Je sens bien l’expérience de cette femme, son ouvrage est de loin supérieur à ce dont Justine est capable, même dans ses meilleurs jours.

Je vois ma maîtresse du coin de l’œil, en train de discuter avec le maître de ma bienfaitrice du moment. Elle a l’air de beaucoup s’intéresser à ce qu’il lui dit, avant qu’il ne s’absente. De son côté, Justine enfile un gode ceinture tandis que plusieurs personnes se massent autour de moi pour regarder ce qui va se passer. Elle m’attrape par les hanches et d’un coup sec fait coulisser dans mon cul son terrible allié de plastique. Au même instant, l’autre maître est de retour et installe sa soumise à quatre pattes, bien cambrée, non loin de moi ; avant d’insérer en elle un gros gode, sous les regards inexpressifs de l’assemblée qui se contente de boire et discuter comme s’ils étaient tous dans une galerie d’art. Celle qui ...