Evolutions (21) - Histoires de Sexe

Evolutions (21)

... nage comme une sirène.

— Nous, on allait repartir, parce qu’on en a marre de se faire draguer par des gros lourds, mais comme vous êtes venus, on va peut-être rester un peu plus. Vous en pensez quoi les filles ?

₪₪₪

En prononçant la dernière phrase, elle s’est retournée vers deux superbes jeunes femmes qui doivent avoir à peu près son âge et qui n’ont rien à lui envier au niveau de la beauté. Si la première qui est brune se contente de hocher la tête pour signifier qu’elle est d’accord, la seconde qui est rousse répond en me lançant un regard que je trouve gourmand :

— Avec des mâles dominants pour éloigner les louvards, ça devrait le faire.

Dorine à qui le manège de sa copine n’a pas échappé, me dit amusée en la désignant :

— Elle, c’est Gaïa, et t’inquiète pas trop, elle fait le même cinéma à tous les mecs qui lui plaisent. Et l’autre, c’est Jade. Elle parle peu, mais Gaïa le fait pour deux alors ça compense.

Pour le confirmer, la brune nous fait un nouveau signe de tête, tandis que notre amie masseuse nous présente également, Marc et moi.

Ensuite, je reporte mon attention sur Alice et Henri, pour constater amusé que ce dernier n’a pas réussi à rattraper son retard, mais qu’au contraire, il s’est accru. Lorsque mon amante a pied, elle se met debout, et elle avance tranquillement vers nous tout en détachant ses cheveux, sans doute pour qu’ils sèchent plus vite.

Avec son corps ruisselant et ses seins qui se balancent au rythme de ses pas, je la ...

... trouve une fois de plus magnifique. Au point que je me sens obligé de penser à autre chose, de peur que me vienne une érection, qui serait très mal venue sur cette plage à moitié pleine de gens, parmi lesquels se trouvent des familles.

Mon petit bout de femme a l’air très contente d’elle, et elle dit à mon fils une fois qu’il nous a lui aussi rejoints, visiblement plus essoufflé qu’elle :

— Je te reprends quand tu veux, mon garçon.

Il ne réplique pas, et après que Dorine ait fait de nouvelles présentations, après que Henry ait posé chastement ses lèvres sur celles de notre amie masseuse dans le but de lui dire bonjour, nous regagnons nos serviettes.

₪₪₪

Les trois jeunes femmes étalent leurs draps de bain à côté des nôtres, et tandis que certains d’entre nous se contentent de se faire dorer la pilule, d’autres discutent. Je constate qu’Alice est parfaitement à l’aise, puisqu’elle est allongée les cuisses largement écartées, comme à la maison. Une fois ses premières craintes passées, elle semble considérer comme étant naturel de se retrouver nue au milieu d’autres gens, dont la grande majorité est de parfaits étrangers. Mais le fait qu’elle soit entourée par d’autres qu’elle connaît déjà à des degrés divers doit certainement l’aider à se sentir à l’aise.

Nous restons comme ça pendant une petite heure, et les jeunes, c’est-à-dire Henry Dorine et ses deux amies, en profitent pour retourner se baigner, tandis que nous les vieux nous restons sur la plage. Ensuite, ...