Congé maternité
Datte: 02/08/2018,
Catégories:
fh,
extracon,
enceinte,
amour,
fsoumise,
hdomine,
pénétratio,
fsodo,
Auteur: Olaf, Source: Revebebe
... sucer jusqu’à la moelle, juste au moment où j’étais si complètement en désir de l’ultime abandon.
Lorsque le souffle commence à me manquer, Paul pose sa paume sur mon mamelon meurtri. Puis il tend ses lèvres vers ce qui sera son prochain sévice. Tout va de plus en plus vite. Je n’aurais par dû le provoquer. Il va me bouffer crue, se repaître de mes entrailles fécondes, se venger d’avoir dû céder à un rival inconnu sa place dans ma matrice.
Une peur viscérale de ce que j’ai déclenché monte en moi. J’ai perdu tous mes repères avec cet amant déchaîné. Je suis à sa merci. Avant même de m’avoir pénétrée, il m’aura faite autre. Et je parie qu’il le sent. En mode animal, sa queue prête à me perforer sans ménagement, ses muscles saillant sous l’effort de copulation, il me sait béante. Il sait aussi d’instinct que j’ouvrirai pour lui chaque orifice dont il désirera s’emparer.
Je n’ai pas besoin d’attendre longtemps avant la prochaine charge. Alors que mes sens sont encore accaparés par ce qu’il a provoqué au bout de mon téton, il varie les plaisirs en me mordant cruellement sous le sein. La douleur est fulgurante, insupportable, asphyxiante. Cette fois, je reste muette sous la déferlante, des larmes giclent de mes yeux. Je n’ai jamais été si loin dans la soumission, ni surtout si subtilement dépassée par la meurtrissure de mon enveloppe charnelle.
Sur sa bouche, qu’il me laisse apercevoir avant de m’embrasser une nouvelle fois, Paul a toujours cet étrange sourire ...
... carnassier, et un peu de mon sang au coin des lèvres.
Nous avons dépassé la limite, mon corps lui appartient. Victorieux, il écarte mes cuisses et me pénètre, plongeant d’un coup de reins jusqu’à l’orée de ma matrice. Le contact de ma chair contre son gland excité doit lui fait prendre conscience d’un obscur sacrilège. Je voudrais le sentir plus au fond de moi, plus intensément bandé. J’aimerais que mes parois intimes gorgées de sang le poussent à prendre du plaisir dans mon ventre. J’aimerais, mais il me refuse ce triomphe.
Après s’être retiré de mon vagin, il me retourne sur le ventre. Déjà je sens sa queue palpiter entre mes fesses, sa pointe prendre ses aises contre mon anneau étroit. Je n’offre aucune résistance, réponds même à chaque secousse de son bas-ventre. Satisfait de ma docilité, il savoure longuement le plaisir qu’il prend entre mes fesses. Je sens à la vigueur de ses coups de reins qu’il n’a plus peur de s’approcher du petit être qui grandit en moi. Maintenant, il peut me saillir tout son saoul. Plus rien ne l’arrêtera. Vraiment rien. Il aurait tort de se priver. Ce n’est pas tous les jours qu’on a une salope au menu.
J’ai mis mon corps entre ses mains pour qu’il en jouisse, et c’est exactement ce qu’il fait. Sa queue me remplit si volumineusement que je perçois chaque frémissement, chaque vague de plaisir, puis peu après, chaque spasme qui va vider ses couilles distendues. Contre les parois de mon intestin, malgré la rudesse de la pénétration, la montée de son ...