1. La descente aux enfers d'une veuve (4)


    Datte: 02/08/2018, Catégories: Lesbienne Auteur: chloe23, Source: Xstory

    ... d’anneau. Puis elle serra une petite vis, qui referma l’anneau sur son téton, l’écrasant fortement, jusqu’à ce qu’Annie gémisse de douleur. Et elle fit de même sur son autre sein.
    
    Les deux anneaux étaient reliés par une chaînette, et Clotilde y accrocha un poids. Aussitôt, ses lourds nichons qui pendaient déjà sous son torse s’étirèrent. Ils prirent une forme conique, et les aréoles de ses seins se mirent à pointer douloureusement. Sa patronne, satisfaite du résultat, ajusta le gode ceinture autour de sa taille.
    
    — Madame Clotilde... Oh, je vous en supplie, pas ça... Je vous en prie.
    
    Mais elle n’avait rien à faire des prières d’Annie. Elle s’agenouilla derrière elle, lui intima l’ordre de se cambrer, et écarta les lèvres de son sexe, pour frotter le gland de vinyle contre sa fente.
    
    — Arrête de geindre, Nini ! Tu as aimé ça hier. Je t’ai fait gueuler de plaisir, comme une salope. Alors, ne fais pas la petite fille.
    
    Elle a commencé à la pénétrer. Lentement, mais sans marquer de pause, malgré les "Non ! Nooooon !" et ses cris. Elle s’est enfoncée en elle, jusqu’à ce que ses hanches viennent buter contre ses fesses. Là, elle a marqué un petit temps d’arrêt, avant de se mettre à faire coulisser l’énorme sex-toy sombre dans son petit coquillage rose, en ahanant.
    
    Les deux femmes pouvaient voir leur image, reflétée par la vitre de la grande porte-fenêtre du salon. Et cette image produisait un effet bien différent à chacune d’elles !
    
    Pour Annie, sa position la ...
    ... faisait penser aux animaux qu’elle avait vus s’accoupler. Quelle horreur pour elle, qui avait toujours fait l’amour dans la position du missionnaire, lumière éteinte !!
    
    Pour sa patronne, la vue de ce corps, secoué par ses coups de reins de plus en plus violents, comblait ses désirs les plus pervers. Ses fesses rebondies, la chair de ses cuisses et de ses épaules, étaient parcourues de soubresauts ; mais ce qui l’excitait maintenant le plus, c’était ces seins pendants, torturés, qui ballottaient jusqu’à venir frapper son ventre rond.
    
    Soudain, Annie poussa un cri de surprise. Elle venait d’apercevoir, dans la vitre, une femme debout dans l’embrasure de la porte, qui les observait.
    
    Clotilde, sans s’arrêter de baiser Annie, se retourna. Un grand sourire illumina son visage quand elle reconnut la nouvelle arrivante.
    
    — Bonjour Béa. J’avais laissé le portail ouvert pour que tu puisses rentrer sans sonner.
    
    — J’ai vu, répondit Béatrice. Et je vois aussi que tu ne t’ennuies pas avec ton aide ménagère !
    
    — Oh oui. C’est une belle salope.
    
    — Pourtant, si j’en crois ses cris, elle n’a pas l’air consentante...
    
    — Elle aime ça, crois-moi. C’est juste qu’elle ne veut pas se l’avouer encore.
    
    Annie écoutait cette conversation, horrifiée. Comment sa patronne pouvait parler d’elle ainsi ? Elle venait de franchir une nouvelle étape dans l’humiliation et dans la honte. Comment pouvait-elle être tombée si bas, elle qui se croyait une "honnête femme" ?
    
    Le fait qu’on les voit ...