1. La descente aux enfers d'une veuve (4)


    Datte: 02/08/2018, Catégories: Lesbienne Auteur: chloe23, Source: Xstory

    ... chute. Alertée par le bruit, sa patronne qui bronzait sur la terrasse, surgit dans le salon.
    
    — Qu’est-ce que tu as fait comme bêtise, Nini ?
    
    — Oh Madame Clotilde ! Pardon, pardon ! Le vase était en équilibre, je l’ai fait tomber en faisant les poussières...
    
    — Le vase était en équilibre ? rugit Clotilde. Encore un peu, et tu vas prétendre que ce n’est pas ta faute !
    
    — Mais non, Madame Clotilde, j’ai pas dit ça, répondit l’aide ménagère, penaude et implorante.
    
    — Ramasse les morceaux de verre, je reviens...
    
    Annie récupéra les débris, et alla les jeter dans la poubelle. A son retour dans le salon, elle se trouva face à Clotilde qui tenait son gode ceinture à la main. Elle blêmit en apercevant l’engin, terrorisée, n’arrivant pas à le quitter du regard.
    
    — Tu ne pensais pas t’en tirer comme ça, Nini...
    
    — Madame Clotilde... Oh, je vous demande pardon, je vous rachèterai un autre vase. Pareil.
    
    — Il ne s’agit pas de ça. Je dois te punir.
    
    — Oh, Madame, non. Pas ce... ce... balbutia Annie qui n’arrivait pas à prononcer le mot.
    
    — Mets-toi à genoux !
    
    — Oh non...
    
    — A genoux, Nini ! Sur le tapis ! Et vite !
    
    Tétanisée par la peur, elle se mit à genoux, ne parvenant pas à contrôler un tremblement nerveux. Son manque de souplesse rendait le mouvement lent, ce qui exaspéra Clotilde.
    
    — Dépêche-toi Nini ! Tu vois que tu devrais faire du régime et du sport. Et penche-toi en avant.
    
    Annie inclina son buste, et prit appui sur ses bras tendus, la tête ...
    ... baissée, docile et honteuse. Ses seins lourds, soumis aux lois de la gravité, pendaient. Sa patronne lui fit écarter largement les jambes, et glissa une main entre ses cuisses.
    
    Elle massa sa chatte, sans douceur, pendant quelques instants, puis écarta ses grandes lèvres. Ses doigts agiles frottèrent sa fente avec de longs allers et retours, puis extirpèrent son clitoris. Clotilde le caressa d’abord, avant de le tourner entre ses doigts et de le pincer.
    
    Elle voulait faire crier son employée, et parvenue à ses fins, elle enfonça deux doigts dans sa grotte, tout en pinçant ses tétons de l’autre main...
    
    Elle fit coulisser ses doigts dans le fourreau d’Annie, rajouta un troisième doigt, et constata avec plaisir qu’elle s’ouvrait plus vite que les fois précédentes. Elle enfonça un quatrième doigt, en pensant qu’elle arriverait peut-être à la fister un jour. Mais elle chassa cette idée de sa tête, pour ne pas être tentée de brusquer encore plus les choses. Surtout que la pauvre femme commençait à mouiller abondamment !
    
    — Madame Clotilde... Ohlala... Arrêtez, mon Dieu, arrêtez, gémit Annie, envahie de nouveau par sa mauvaise conscience. Mais aussi, pour la première fois, par un sentiment qui ressemblait à du désir.
    
    Sa patronne ne se donna même pas la peine de lui répondre. Elle lui ordonna juste de rester dans cette position, et elle sortit de nulle part ce qui parut encore à ta mère un objet inquiétant.
    
    Elle prit l’un de ses seins, et plaça la pointe dans une sorte ...
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