8 - Confession
Datte: 01/08/2018,
Catégories:
hhh,
hplusag,
grossexe,
douche,
Oral
hdanus,
hsodo,
init,
confession,
Auteur: Rollerbi, Source: Revebebe
... dit-elle en rigolant.
Incroyable amante, je découvre à présent son incroyable tolérance. Tout est ouvert chez cette femme, même son esprit. Devant son réel intérêt à comprendre, je lui relate alors le reste de cette grande première.
Il me laissa un instant reprendre mes esprits, me demandant si j’avais apprécié, et me félicitant pour ma première pipe. Avec calme et assurance, il me déshabilla à mon tour, m’allongea en travers du lit, puis se mit en face en 69 à plat, et prit délicieusement ma verge en bouche.
Sa queue était toujours gonflée, même presque molle, et je l’ai remise entre mes lèvres. Je n’en revenais pas de la chance que j’avais, depuis si longtemps que j’en fantasmais. Un mec à sucer, là, disponible et disposé ! Tout en me suçant, il me caressait l’anus sans le pénétrer, juste pour voir ma réaction.
Lui banda de nouveau en quelques minutes tandis que sa langue fouillait mon trou délicatement. Des spasmes me cinglaient le ventre, trop de sensations. Il jouait avec mes couilles, et me dit que si je voulais, de ne pas me gêner, car il adorait cela. Oh, il savait s’y prendre, c’était un sacré mec, et avait compris que je n’étais pas limité à une bonne pipe. Il savait y faire, mais pas vulgairement. Il avait l’endurance, la patience, et savait également me mettre en confiance.
Il m’expliqua comment gober ses couilles, je le suçais, lui sous moi, sa matraque entre mes mains, les miroirs de sa penderie me renvoyant le tableau, il me dit alors :
— ...
... J’ai envie de te prendre.
Tout en me léchant la raie des fesses.
J’avais bien joué avec mes doigts en me branlant, quelques objets comme des bougies, mais si je posais une bougie contre sa queue, il n’y avait pas photo !
— Suce-moi bien, fais-moi bander dur, je ne te ferai pas mal, tu ne sentiras rien. Sinon, je m’arrête immédiatement.
La totale. Je voulais sucer, découvrir le plaisir de faire une pipe, et j’allais me faire prendre en supplément ! Sucer cet homme était si bon, et sa langue dans mon petit cul… même si je n’en menais pas large, j’étais hors de tout raisonnement !
Moi sur le côté en chien de fusil, il me parlait tout en se tenant à genoux derrière moi de chaque côté de ma jambe, ses mains écartant mes fesses, son gros gland contre mon anus. Il poussait doucement en me demandant de pousser comme aux toilettes. J’ai ressenti une vive douleur lorsque son ogive passa et me harponna, mais il s’était déjà arrêté, il connaissait…
Bref, en une dizaine de minutes à me « brosser dans le sens du poil », à me rassurer et me décontracter, il m’avait rempli de son pieu, sans violence, m’habituant à son imposante présence.
Il me prenait sans contrainte, se satisfaisant de faire coulisser ce fort sexe sur une bonne longueur. Je n’avais pas mal, mais mon cul tout neuf n’avait aucune souplesse, et sa largeur importante me faisait tout drôle.
Je ne prenais que le plaisir de l’avoir bien toléré, je ne pouvais pas parler de jouissance. Je jouissais de l’instant, ...