8 - Confession
Datte: 01/08/2018,
Catégories:
hhh,
hplusag,
grossexe,
douche,
Oral
hdanus,
hsodo,
init,
confession,
Auteur: Rollerbi, Source: Revebebe
... en me concentrant sur le superbe nœud que j’ai en bouche, le prenant loin en bouche comme s’il pouvait repousser mes pensées. Je le suce… comme Danièle me suçait, avec conviction.
Franck, lassé de me caresser le dos, flatte maintenant mes fesses, attrape mes bourses, puis ses doigts remontent le long de ma raie, avant de redescendre et de refaire un tour complet de mon arrière-train. Ma bouche est toujours active autour de sa verge de plus en plus bonne.
«C’est le goût des bites que tu pompes ou celui de la perversité de la soumission qui te pousse à sucer ? » continue mon esprit.
Ce sont les doigts qui pénètrent mon cul vaseliné qui m’empêchent de trop penser. Ils m’investissent dans un mouvement de vrille, ne réveillant à mon grand étonnement aucune douleur malgré ce que vient de vivre mon cul ce soir. Bien au contraire, ses doigts ont un effet exutoire, focalisant mes sens sur le plaisir.
Voyant dans cette porte d’entrée, la porte de sortie de mes idées noires, je dépose la verge massive sur son ventre, sors les doigts de Franck de mes fesses, me tourne pour lui présenter mon dos. J’envoie mon bras en arrière, trouve sa queue, la tire vers moi et lui dis d’un ton péremptoire :
— Encule-moi, s’il te plaît.
L’ogive dans ma main, je la guide contre mon cul, puis lui donne l’ordre d’y aller. Je pousse de toutes mes forces ; entre l’Homéoplasmine et la partie de baise que je viens de vivre, il me prend d’une seule poussée. Et que c’est bon ! Je lui demande de ...
... me sauter, de ne penser qu’à lui, car de toute façon, je jouis dès qu’il me pénètre.
Patrick ne bouge pas, je suis presque certain qu’il dort, sinon, sa bite serait déjà entre mes lèvres. J’encourage Franck qui me fait sentir la puissance exceptionnelle de son organe, promenant de façon exquise son énorme nœud dans mon rectum. L’angle est idéal, je le sens parfaitement, qu’il me baise lentement ou qu’il accélère, ce n’est que du plaisir.
Il m’encule ainsi un bon quart d’heure. J’ai très chaud, des spasmes prometteurs m’indiquent qu’il va me faire décoller. Son gland, qui jusque-là, me donnait l’impression d’être une boule de billard à l’intérieur de moi, me semble devenir une boule de bowling roulant sans fin en moi. Mon souffle devient court, mes reins brûlent, de puissantes décharges électriques remontent du bas de mon dos jusqu’à ma nuque, des fourmis picotent mes doigts…
— Ouiiiiii ! Oh ouiiii, c’est bon ! Viens en moi.
Franck s’emballe à son tour. La boule de bowling vient de réussir un magnifique strike. Elle arrose copieusement sa victoire dans un dédale de quilles renversées, graissant par la même occasion toute la machinerie nécessaire à la bonne marche de la piste. En de multiples coups de reins, il m’insémine ma dose de somnifère avant de me serrer fort contre lui, essoufflé, repu, mais bien présent.
Quelques minutes plus tard, il me demande si je me sens mieux. Sa longue et grosse queue toujours dans mon ventre, oui, je me sens mieux.
— Reste en ...