1. 8 - Confession


    Datte: 01/08/2018, Catégories: hhh, hplusag, grossexe, douche, Oral hdanus, hsodo, init, confession, Auteur: Rollerbi, Source: Revebebe

    Résumé de l’épisode précédent :En arrivant chez Patrick pour une incontournable soirée sexe, celui-ci m’a fait la surprise d’avoir convié un troisième homme à nos ébats. Une nuit torride s’ensuit.
    
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    Étalé sur le dos de tout mon long, le ventre tout « comateux », mon rectum tartiné d’Homéoplasmine, leur queue enfin à l’état de repos dans ma main, je suis le plus heureux des hommes.
    
    Mon esprit revit cette magnifique soirée de baise. Ils m’ont bien pris, j’ai reçu leur queue, leur foutre, m’ont fait jouir, je suis plus que comblé. Et pourtant, le spectre de Danièle surgit dans mes pensées, tel un fantôme sorti de dessous le lit.
    
    Putain, pourtant, qu’est-ce que je me sens homme ! Rien que de penser aux courbes de son corps, au galbe de sa poitrine, au goût subtil de son sexe, ou encore à l’élasticité de son petit cul, une impressionnante érection. Notre complicité, au lit, certes, mais au dehors également, était osmotique.
    
    Alors, pourquoi j’aime les mecs, bordel ? Pourquoi ai-je besoin de les pomper, de les boire ? Pourquoi je me sens si bien avec une bite dans le cul ? Vais-je toute ma vie avoir le cul entre deux chaises ?
    
    Aucune réponse ne pointe son nez pour venir me rassurer. Depuis une trentaine de minutes, mon esprit ne cesse de me torturer. Bien qu’entre deux hommes, je me sens pourtant si seul ce soir. À côté de moi, Patrick respire régulièrement, il dort fermement. J’aurais bien besoin de venir vers lui, là. ...
    ... Mais je décide de le laisser à Morphée. Alors, à tâtons, ma main cherche le sexe de Franck. Ridicule, mais son contact, la chaleur de son membre m’apaisent.
    
    — Tu ne dors pas ? chuchote Franck. Tu n’es donc jamais fatigué ?
    — Si, mais j’ai un coup de blues.
    — T’as besoin d’en parler ? Je peux t’écouter, tu sais.
    — C’est gentil, lui assurai-je en caressant son beau paquet. Mais c’est compliqué.
    
    Il n’insiste pas, comme souvent les êtres sensibles, il sait qu’il ne faut pas forcer. Mes doigts jouent avec les poils de son pubis taillés courts, caressent ses bourses, remontent de son gland jusqu’à la base de sa queue. Quelques minutes d’un insoutenable silence passent, mais malgré ce doux contact, Danièle danse derrière mes yeux.
    
    Glissant contre lui, je pose ma tête sur son ventre, relève sa verge pendant entre ses jambes et très amoureusement, la glisse entre mes lèvres. Ses couilles cajolées dans ma main, j’entame une fellation des plus câlines, insistant beaucoup sur son beau gland libre de tout prépuce. Ma langue lui tourne autour, taquine son méat, le lèche comme une glace. Il est raide, ne pipe pas mot, redevenant long et gros tout en se laissant déguster. J’aspire cette verge en le branlant tantôt avec délicatesse, tantôt plus fermement, prenant plaisir à… gagner du temps.
    
    «Ne te leurre pas, me dis-je à moi-même.Tu cours, tu fuis, tu t’évades ! Tu as peur de la solitude. L’idée de te retrouver seul avec toi-même te fait flipper ! »
    
    Je chasse mes idées noires ...
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