Les femmes du hammam Episode 2 : La vengeance de B
Datte: 31/07/2018,
Catégories:
Anal
Humour
Inceste / Tabou
Auteur: proxxx6, Source: xHamster
... s’étaient mariés, comme la plupart des gens se mariaient à cette
époque là : un mariage arrangé par les parents. Ali était plus beau et plus grand que Mourad. Il
était aussi plus jeune. Mais il était tout aussi traditionnel et machiste que son grand frère. De
plus, il lui était totalement dévoué. Ils géraient ensemble un grand magasin de tissu pour robes de
soirée et tenues de mariage dans la Basse Casbah. Mourad en était en fait le vrai patron. Il lui
obéissait au doigt et à l’œil. Ce que Djamila n’admettait pas ! Mais elle ne se révoltait jamais,
sachant qu’elle n’avait rien à gagner.
Djamila mit un certain temps pour enfanter. Ce qui l’avait fragilisée auprès de sa belle-mère qui la
menaçait souvent de la faire répudier. Elle se tint donc à carreau, grâce aux conseils de sa belle-
sœur, qui elle ne se gênait pas – elle était déjà mère de deux garçons – pour se disputer violemment
avec son mari et même avec sa belle-mère. Et puis la voilà, maintenant, en compagnie de sa belle-
sœur entrain de cocufier son mari et d’y prendre un immense plaisir. Elle avait découvert avec
Moussa les plaisirs de la chair. Et, elle qui n’avait connu que le corps et le sexe de son mari,
venait de découvrir d’autres horizons et d’autres plaisirs que les pauvres allers-retours dans son
intimité du petit zob de son mari, la nuit dans le noir, qui la laissaient complètement inassouvie.
Elle raconta même à Baya, qu’elle devait se caresser souvent après ...
... que son mari eût « fait son
affaire » pour prendre, elle aussi, un peu de plaisir.
Les deux femmes s’épanouissaient dans l’adultère. Et aucune des deux n’y voyaient du mal et surtout
de faute morale. Elles savaient bien que l’adultère était condamné par la société et même par la
Loi. Mais elles s’en accommodaient très bien tant que la chose restait secrète. Et tant qu’elles en
éprouvaient du plaisir et tant qu’elles – Baya, surtout – ressentaient les bienfaits psychiques
de la vengeance envers leurs maris, elles étaient heureuses. Baya voulait même aller plus loin dans
sa vengeance. Elle attendait avec impatience, le moment où sa belle-mère allait s’absenter un temps
de la maison et qu’elles allaient rester seules –Djamila et elle – pour nous inviter à les rejoindre
dans leurs chambres respectives, sur leur lit conjugal.
Pour Baya, ce serait le sommet de sa vengeance : baiser avec un autre homme dans la chambre
conjugale et sur le lit où elle dormait toutes les nuits avec son mari et garder ainsi
éternellement, le souvenir de sa victoire sur le sort qui avait rempli sa vie de frustrations et
avait fait d’elle la prisonnière de son mari. Je bandais très fort à cette idée de batifoler avec
Baya dans la chambre où elle dormait – et faisait l’amour – avec son mari. Moussa était plus
dubitatif, parce qu’il avait peur cela ne tourne très mal et finisse en scandale et en drame.
Djamila, quant à elle, même si elle appréhendait la chose, ...