1. Les femmes du hammam Episode 2 : La vengeance de B


    Datte: 31/07/2018, Catégories: Anal Humour Inceste / Tabou Auteur: proxxx6, Source: xHamster

    ... Tout ce qu’elle lui disait de faire,
    
    elle le faisait. Elle ne la jugeait jamais.)
    
    - En-mout a‘ala ezzel ! A‘acel ! (J’adore le sperme ! C’est comme du miel !) Echhrabt bezzef
    
    mennou ki kount sghira ! M’a‘a çahbi ! Ou ki chouft en-ta‘aek ou en-ta‘a khouk ma en-djemt en-ched
    
    rouhi ! (J’ai bu beaucoup de sperme quand j’étais jeune ! Celui de mon petit ami ! Et quand j’ai vu
    
    le tien et celui de ton frère, je n’ai pas pu résister !)
    
    Djamila, que sa nudité devant deux hommes ne semblait pas gêner, s’était entretemps rhabillée. Elle
    
    le faisait lentement, comme pour nous laisser le temps à Moussa et moi, d’admirer ses formes
    
    plantureuses qu’elle savait bandantes. Puis toutes les deux remirent leurs haïks. Nous nous donnâmes
    
    rendez-vous pour le samedi suivant et elles quittèrent la librairie, en papotant et riant,
    
    visiblement très contentes d’elles et de ce qu’elles venaient de vivre.
    
    …/…
    
    Baya était la plus heureuse ; et elle le montrait sans la moindre honte. Elle était heureuse, non
    
    pas d’avoir joui – et superbement bien joui, m’avait-elle affirmée tantôt – mais d’avoir fait
    
    pousser des cornes sur le front de son mari. Elle avait une vengeance à réaliser et elle venait de
    
    commencer. Elle en avait fait une véritable obsession. Elle voulait lui faire payer – s’il ne le
    
    saura peut-être jamais - toutes les années de frustration qu’elle avait passée à ses côtés, depuis
    
    une dizaine d’années.
    
    Et maintenant elle rêvait de lui faire ...
    ... vivre l’enfer, tout en étant consciente qu’il devait ignorer
    
    ce qu’elle faisait. Elle savait qu’elle paierait très cher si elle se faisait prendre en état
    
    d’adultère. Mourad pourrait se venger sur elle de la pire des manières qui soit : lui enlever ses
    
    enfants et la traîner devant les tribunaux qui la condamneraient à des années de prison. Elle
    
    n’avait ni métier, ni entrées d’argent qui auraient pu la rendre indépendante et l’auraient incité à
    
    demander le divorce. Elle était donc prisonnière du bon vouloir de son mari, son geôlier. Tout ce
    
    qu’elle pouvait faire, c’était de le rendre cocu et de jouir – secrètement – de la chose. Elle
    
    m’avait même avoué qu’elle faisait volontiers l’amour avec lui – chaque fois qu’il le lui demandait
    
    - rien que pour se moquer discrètement de ses pauvres capacités d’amant. Il ne faisait l’amour que
    
    dans le noir et son petit sexe était incapable de la faire jouir ou de lui donner la moindre once de
    
    plaisir. Elle comparait ses tristes ébats avec Mourad avec ceux – flamboyants - qu’elle avait avec
    
    moi, et qui l’emportaient régulièrement vers les plus hautes cimes de la jouissance sexuelle.
    
    Djamila semblait aussi dans les mêmes dispositions d’esprit. Bien que chez elle, ce ne fut que du
    
    suivisme. Elle adorait Baya et lui était toute acquise. Elle lui obéissait au doigt et à l’œil et
    
    elle y trouvait son compte. Elle aussi avait découvert, avec Moussa, le plaisir charnel, que son
    
    mari ne lui procurait pas. Ils ...
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