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Les femmes du hammam Episode 2 : La vengeance de B
Datte: 31/07/2018, Catégories: Anal Humour Inceste / Tabou Auteur: proxxx6, Source: xHamster
Baya et moi, nous nous rhabillâmes, après qu’elle eût constaté que près de deux heures s’étaient écoulées depuis qu’elle était entrée dans la librairie en compagnie de sa belle-sœur Djamila. Par manque de temps – et non pas parce que j’étais fatigué, lui dis-je, par besoin de m’affirmer comme un amant extraordinaire - j’avais renvoyé à notre prochaine rencontre, ma décision de l’enculer. Le cul de Baya était tellement bandant (avec son fessier rond, bombé et haut perché) qu’il me fallait absolument en prendre possession. Et puis, dans ma naïveté de jeune blanc-bec inexpérimenté, je me disais que la sodomisation d’une maîtresse était la preuve pour l’homme qui la pratiquait, qu’il était un as du libertinage. Je n’avais pourtant pas eu le courage de lui en parler. Je remettais cela à nos prochaines étreintes. Nous nous étions donné rendez-vous pour le samedi suivant. Nous sortîmes rapidement de la petite chambre pour nous retrouver à l’intérieur de la grande salle. Nous entendions maintenant très distinctement les cris et gémissements que faisaient Moussa et Djamila entrain de copuler. Nous nous regardâmes Baya et moi avec des yeux dans lesquels se lisait la surprise. Nous étions tout étonnés que le couple soit encore entrain de faire l’amour. Ils avaient pourtant commencé en même temps que nous ! Je lisais dans les yeux de ma compagne comme de l’admiration et j’en fus un peu jaloux. Je me disais qu’elle faisait la comparaison entre ...
... mon frère et moi et que cette comparaison était très largement en faveur de Moussa. Nous tombâmes sur un spectacle d’un érotisme plus que torride. Moussa, debout, le cul en l’air, le pantalon baissé coincé sur ses chevilles, était entrain de sodomiser Djamila, debout elle aussi, mais penchée sur le comptoir, de manière à mettre ses grosses fesses à la même hauteur que le pubis et l’immense sexe de l’homme. Tous les deux poussaient des petits cris de plaisir qui se répondaient les uns aux autres et se mélangeaient à l’intérieur de la librairie. Djamila était aussi plantureuse qu’elle le laissait transparaître sous son haïk blanc. Elle était maintenant toute nue et je voyais ses chairs qui tremblaient sous les furieux coups de reins de son amant. Moussa la tenait fermement par les hanches et la tirait en force, en ahanant comme un bucheron à chaque poussée et en gémissant à chaque retour. Je voyais les gros seins blancs et nus de Djamila qui balançaient au rythme des coups de boutoir de son amant. Elle criait elle-aussi à chaque pénétration brutale de l’immense sexe de mon frère dans son anus. Il lui faisait mal et elle le lui montrait en criant. Mais elle ne voulait pas qu’il s’arrête de la tirer. A côté de la petite douleur, elle semblait éprouver beaucoup de plaisir de recevoir l’énorme engin de son amant. Je ne voyais pas son visage – ni celui de Moussa d’ailleurs – mais au sifflement qu’elle produisait après chaque cri, je ...