Le retour du printemps
Datte: 31/07/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
voisins,
Oral
pénétratio,
Humour
occasion,
Auteur: Annie-Aime, Source: Revebebe
... méprennent. Va savoir ! Ils ne badinent pas sur ce sujet. Je voudrais pas me retrouver en relégation, hors charte comme ils disent.
ooo000ooo
Béa n’a guère plus d’une vingtaine d’années mais elle est indéniablement sûre d’elle-même, énergique, tout à fait conforme à sa réputation. Marlène la dit volontaire et fantasque, collectionnant les aventures. Ce n’est pas pour me déplaire. C’est le gage d’une relation éphémère. Je conjecture sur mes turpitudes à venir avec d’autant moins de remords
La donzelle ne perd pas de temps, ôte son blouson tape-à-l’œil, retire ses bottes de sept lieues et entreprend de se défaire de son collant coloré. Le tissu à rayures roses fluo glisse sur les cuisses galbées, dénudant une chair laiteuse. La chipie ne porte rien sous son collant. Elle est nue sous son tutu vaporeux. L’impudique me fait face, jambes légèrement écartées, exhibant ses trésors sans vergogne.
De ma place, j’ai une vue superbe sur son sexe. Je bée d’admiration, subjugué face à la toison en bataille, face aux lèvres charnues, face à l’appel du diable, conscient de mon propre désir. Je ne me souviens plus de la dernière fois que j’ai vu un minou d’aussi près, peut-être à la télé ou en vidéo, mais là… un vrai de chair et de sang, plein de mystères. Je perds la raison et bande si fort que j’en ai mal à la panse.
La jupette, la ceinture, le tee-shirt, les chaînettes, les bijoux puis une rapide toilette, autant d’étapes qui jalonnent encore mon attente. Je n’ai pas ...
... d’impatience. Je suis sur mon nuage et me demande si tout ceci n’est pas un rêve. Je plane. J’attends.
Béa est infiniment plus belle sans sa bimbeloterie et tous ses attifements. Sa peau est d’une blancheur uniforme presque translucide, délicate. Elle est à moins de deux pas, silhouette svelte, seins menus, taille élégante, hanches sensuelles. Les derniers pas… Je m’émerveille… ce ventre délicieusement ballonné, la cuisse exquise, le triangle émouvant et ce cul, Seigneur ! Béa se glisse sous le drap, se love contre mon flanc, glisse une main dans mon pyjama, s’empare de ma bite à son zénith et recommence à me branler.
Je n’ai jamais été un foudre de guerre. Ce n’est pas à 57 ans que je vais me reconvertir. Je laisse ma partenaire conduire les opérations et surfe sur la vague de mon plaisir tandis qu’elle me déshabille et embouche mon sexe. Un plaisir parfaitement égoïste mais je suis bien incapable de la moindre initiative.
— T’as des préservatifs ? demande Béa.
— Non.
Tu parles ! La dernière capote que j’ai enfilée, c’était en mai 1981, le jour de l’élection du Président Mitterrand.
— Ben tant pis alors, se dégonfle-t-elle, libérant mon sexe qu’elle empoignait.
Je suis largué, prisonnier dans l’œil du cyclone.
— Moi je m’en fous. Si tu veux continuer, c’est comme tu sens, suggère-t-elle en réponse à mon désappointement.
N’a-t-elle pas dit qu’elle est clean ? Ai-je encore ma raison ? M’est avis qu’il ne faudrait pas pousser trop loin l’analyse. Il n’y a pas ...