1. Tango Argentique


    Datte: 30/07/2018, Catégories: fh, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, 69, fsodo, Auteur: Isilwen, Source: Revebebe

    ... Les amants bougeaient ensemble, dans une réelle communion. Elle griffait ses cuisses, s’agrippait à lui, le plaisir était si fort, si intense qu’elle s’abandonnait complètement à sa verge, ses mains, ivre des grognements masculins. Il glissa sa main vers son clitoris, il ne tenait plus, il allait bientôt jouir, et il voulait la sentir venir avec lui. Il toucha sa chatte trempée, enfonça ses doigts en elle, qui haletait. Elle se sentait remplie comme jamais, si elle ne jouissait pas vite, elle allait s’évanouir. Elle saisit la main qui la fouillait pour la remonter sur son clitoris. À peine fut-elle effleurée qu’elle sentit monter son orgasme, elle accéléra ses mouvements de bassin, sentant cogner le ventre de Raphaël contre ses fesses, et leurs sueurs se mêler dans son dos. Il jouit le premier en grognant et mordant l’épaule de la jeune femme.
    
    — Viens avec moi ! parvint-il à articuler, alors qu’il continuait de la prendre avec force.
    
    Marion éclata de son orgasme peu après, tendue comme un arc, dans une jouissance si forte qu’elle n’eut qu’un cri rauque et puissant, qui lui arracha presque les cordes vocales. Alors que les vagues de plaisir retombaient encore, elle se retira rapidement et se retourna, prenant le jeune homme dans ses bras et glissant sa queue dans son vagin. Il la serra fort contre lui, une main sur sa nuque, l’autre sur ses reins. Elle allait et venait très doucement sur lui, comme pour se calmer, pour se rassurer avec un plaisir qu’elle ...
    ... connaissait mieux que celui qu’elle venait de ressentir. Il la caressait sur tout le corps, et elle ne pouvait se résoudre à le lâcher. Elle jouit une deuxième fois juchée sur lui, dans un simple gémissement apaisant, étreignant Raphaël. Alors seulement, elle rendit la liberté à cette queue, et sans croiser son regard, elle s’allongea en chien de fusil, tirant le drap sur elle.
    
    Il se coucha contre elle et la prit dans ses bras, plaquant son torse sur son dos, la couvrant une nouvelle fois de ses bras puissants. Il s’endormit en songeant à sa fragilité.
    
    Noir.
    
    oooOOOooo
    
    Thomas se sentait à l’étroit dans son boxer. Il se passa la main sur le visage, il devait rester concentré. Il attribua les frissons de sa peau à la température dans cette pièce, et non au désir. Exposer, révéler, arrêter, fixer, laver, sécher.
    
    Sous ses yeux apparaissaient des ombres, puis des visages, des corps, un dégradé de chrome, à n’en pas douter, c’était la meilleure séance qu’il avait réalisée. Son talent y faisait, mais l’émotion, la beauté de leurs corps…Il aurait pu être médiocre, leur grâce aurait quand même bousculé le diaphragme. Il regardait les photographies qui séchaient. Il était temps d’aller chercher Marion.
    
    Thomas sortait de la chambre noire et la trouva dans l’antichambre, déjà vêtue, qui fumait une cigarette, assise sur le bras d’un fauteuil.
    
    — Tu as repris la clope, toi ? se moqua-t-il.
    — Je ne vois pas de quoi tu parles… Je n’avais que ça à faire en attendant que tu aies ...
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