1. La diablesse du Périgord


    Datte: 12/01/2018, Catégories: Première fois Inceste / Tabou Auteur: matlr, Source: xHamster

    ... approche ludique du commerce de la chair ! On ne sait plus quoi inventer pour être original… Bien, par quoi commencer ? C’est vrai qu’elle est bien tentante cette rousse, mais puisqu’on joue, corsons un peu la partie. Et au diable l’avarice, ça passera sur la note de frais.
    
    — Montrez-moi votre catalogue que je choisisse une fille ou deux !
    
    — Il n’y a pas de catalogue, cher ami, vous dites, j’exécute !
    
    — OK, je vous prends au mot ! Je vous veux vous, rousse de feu, plus une belle black, plus une jolie beurette. Vous avez ça en magasin ?
    
    Mon petit sourire narquois ne dure pas longtemps, juste le temps de sa réponse.
    
    — Bien sûr ! C’est votre premier vœu ? Ferme et définitif ? Suivez-moi.
    
    Elle ouvre une lourde tenture qui cachait une porte sur le mur du fond et m’entraîne dans une grande chambre. Au milieu, un immense lit recouvert de fourrure et sur le lit, deux créatures de rêve, nues, me tendent les bras. Une Noire magnifique avec des seins comme des obus et la cambrure provocante ainsi qu’une danseuse des mille et une nuits aux longues boucles brunes et aux hanches larges, bien proportionnées, le sexe épilé, attendent mes ordres. Elles sont bientôt rejointes sur le lit par la rousse flamboyante qui a tombé sa minijupe verte et son corsage noir. Haa ! Mes aïeux, même dans mes rêves les plus fous je n’aurais imaginé pareil spectacle !
    
    — Déshabillez-moi, léchez-moi, sucez-moi, donnez-moi vos bouches, vos seins, vos cuisses, vos sexes, vos culs, tout, je ...
    ... veux tout !
    
    Je suis hystérique, complètement dingue. Je ne sais plus où donner de la bouche, des mains, de la bite. Je me vautre littéralement sur les filles, mes doigts explorent des grottes humides, ma bouche suce des vulves parfumées, mes mains triturent des tétons tuméfiés, ma verge pénètre des vagins mouillés, des culs odorants, des bouches gourmandes. Mon pénis triomphant arrose par longues saccades une touffe rouquine frisée, des fesses noires bien rondes, des seins bronzés bien fermes. Je donne, je donne, encore et encore. Quand enfin je m’apaise, j’ai honoré les trois bouches, les trois vulves et les trois culs.
    
    Je me détends lentement, reprends mon souffle quand soudain un doute m’assaille.
    
    Comment la rouquine pouvait-elle savoir que je demanderais une black et une beurette ? Et comment étaient-elles entrées dans la chambre ? Il n’y avait pas d’autre issue ! Elles n’étaient tout de même pas là à attendre un hypothétique client toute la soirée !
    
    Et moi, j’avais joui et éjaculé des fois et des fois sans débander. Pas normal non plus, ça !
    
    Pas très naturel ! Ça sent le soufre ! Et si ce contrat était plus qu’un bout de papier pour rire…
    
    La rousse est debout devant moi, nue, impudique, magnifique. Elle me toise d’un regard de braise, un sourire carnassier au coin des lèvres.
    
    — Alors, ce premier vœu ? Il t’en reste deux mais tu ne peux plus retourner en arrière. Tu es à nous. Ton deuxième vœu ?
    
    Elle continue à jouer son rôle, mais ça me fait moins ...