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Dérapage incontrôlé
Datte: 29/07/2018, Catégories: fh, fhh, hplusag, cocus, inconnu, caférestau, Auteur: Lauriolan, Source: Revebebe
... Pourtant elle ne prétendait pas me quitter. Elle était là face à moi, ne cherchant pas à se dérober et ne paraissant pas craindre de moi le moindre reproche. Est-ce que tout n’avait finalement pas été dit ? N’avais-je pas accepté ce contrat ? Il était maintenant trop tard pour reculer. Elle prit ma main, sans chercher pourtant à me réconforter. Elle en avait seulement envie et bien que désarçonné, je ne me dérobai pas. Elle se pencha vers moi pour susurrer à mon oreille son désir que nous fassions l’amour, là, dans le salon, maintenant, à même le sol. Jamais elle ne m’avait parlé comme ça. Jamais elle n’avait exprimé, avec une telle clarté et une telle évidence, son désir. Elle ajouta qu’elle voulait se faire prendre brutalement sur le tapis et qu’elle voulait me sentir profondément en elle. Elle voulait que je la brutalise un peu, ce que je n’avais jamais fait… Nous avons eu une relation, intense, sauvage et terriblement troublante. Je vivais pour la première fois une forme de sadisme à lui faire payer son infidélité. Mais par ailleurs, j’avais la sensation étrange qu’en faisant l’amour avec elle, elle était déjà en train de me faire cocu. Je ne pouvais pas douter qu’en la pénétrant, elle pensait à cet inconnu ! Aussi, lorsqu’elle s’est endormie, après m’avoir embrassé fougueusement, je n’ai plus pensé qu’à cela. À la douleur de la savoir se faire baiser la nuit prochaine par ce Don Juan sur le retour… Et à ma solitude immense.« Demain, elle ne sera pas même là ...
... à mes côtés pour me raconter sa nuit de débauche. Elle sera en train de la vivre pendant que je me laisserai ronger par la cruauté de ma seule imagination. » J’ai très mal dormi cette nuit-là. Aurélie était, quant à elle, toute guillerette et d’une beauté insolente. Elle semblait vraiment comblée. J’avais désormais tout le loisir de l’observer alors qu’elle dormait si profondément. J’ai écarté les draps pour découvrir le haut de son corps. Elle était entièrement nue, mais d’une nudité plus évidente encore par l’abandon qu’elle livrait à mon regard. Sa respiration, encore sous les effets de l’effort charnel qui l’avait épuisée, faisait onduler son buste. Sa poitrine oscillait avec une exquise souplesse. J’étais surpris de voir ses mamelons ainsi gonflés… Dans la semi-obscurité j’aurais voulu les caresser, pour mieux en évaluer les reliefs. Mais étrangement, malgré la fougue de notre étreinte, dont la chaleur moite des draps témoignait encore, tout ce que je voyais dans sa radieuse beauté, c’était sa fraîcheur virginale ! J’étais bien sûr bien placé pour savoir qu’elle n’était plus vierge, en repensant aux multiples aventures sexuelles que nous avions partagées, mais j’étais le seul homme qu’elle ait connu jusqu’à ce jour. Je ne peux décrire l’émotion que j’avais à la découvrir encore davantage, en remontant encore les draps, cette fois pour découvrir ses cuisses. En regardant ce charmant relief au bas de son ventre à peine voilé par de fins poils pubiens, je me ...