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Dérapage incontrôlé
Datte: 29/07/2018, Catégories: fh, fhh, hplusag, cocus, inconnu, caférestau, Auteur: Lauriolan, Source: Revebebe
Tout était arrivé si brusquement. Nous sommes mariés Audrey et moi depuis plus de dix ans. Dans les premiers temps, alors encore étudiants, notre amour effréné faisait de nous un couple quasi fusionnel. Nous avions tellement besoin du contact l’un de l’autre qu’il nous arrivait dans les circonstances les plus diverses de nous caresser, au risque de nous laisser surprendre… ce qui ne faisait qu’attiser notre excitation. Ainsi lorsque nous invitions des amis, nous nous placions toujours en face à table, afin de pouvoir à loisir flatter notre intimité, frôlant tour à tour l’intérieur de nos cuisses, tout en participant le plus naturellement possible à la conversation. Curieusement ce n’était pas le fait d’accueillir ou de prodiguer de telles caresses en soi qui nous mettait le plus en joie, mais ces brefs moments où nos regards se croisaient. C’était particulièrement vrai en cet instant au tout début du repas où nous devinions que l’autre était en train de se déchausser. Bien sûr, c’était un jeu entre nous qui était devenu une sorte de rituel. Il fallait ne rien laisser paraître, et cette connivence coquine nous rapprochait de façon si spontanée, que parfois nous ne pouvions résister jusqu’à la fin du repas. Nous laissions alors nos invités quelques instants sous le prétexte de nous affairer en cuisine, pour nous sauter littéralement dessus, affamés que nous étions de nos corps bien plus que de nourriture. Je ne rentrerai pas ici dans le détail des excentricités ...
... auxquelles nous nous adonnions pour parvenir à une jouissance accomplie et tout cela dans un temps qui devait être bref ! Je peux juste évoquer qu’outre nos langues et nos mains, bien des ustensiles de cuisine, des fruits, des légumes ou autres objets de la buanderie nous étaient d’un réel secours pour accélérer nos ébats. Nous n’avons jamais constaté que nos invités aient pu soupçonner notre manège… mais j’avouerais que cela s’est passé si souvent au début de notre relation que je ne m’étonnerais pas que certains aient eu des soupçons. Qu’il n’y ait pas eu que des aliments qui soient passés à la casserole, avant que nous rejoignions la table, c’est une chose, mais notre folie allait parfois jusqu’à ne pouvoir refréner nos ardeurs, laissant à des hôtes perspicaces quelques indices : des traces suspectes sur le dessert que nous apportions enfin, et bien plus souvent sur une partie de nos vêtements que nous avions bien du mal à dissimuler. Ainsi, si un jour j’avais une trace marron sur le bas de ma chemise, ce n’était pas le fait de ma maladresse, mais de l’ardeur de ma compagne à sucer mon sexe que j’avais agrémenté précipitamment en l’enduisant ce jour-ci de crème au chocolat. Et si une trace d’humidité était perceptible une autre fois sur sa robe à hauteur de son sein, c’est que je n’avais pu résister ce jour-là à lui dévorer le mamelon au travers du tissu… Changer de vêtements après nos forfaits aurait certainement tout autant éveillé les soupçons… et puis ces petites ...