Tante Jeanne - Soirée Familiale
Datte: 28/07/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
extracon,
oncletante,
grosseins,
poilu(e)s,
pénétratio,
Auteur: Fulvia, Source: Revebebe
... remplis toute
…
Robert, qui avait un mal fou à contenir l’embrasement de ses sens, se trouva de nouveau projeté dans un début d’extase auquel il se refusait encore de céder. Saisissant sa fougueuse amante par les fesses qu’il enserra fermement, il la contraignit à calmer ses ardeurs.
— Doucement, grogna-t-il… C’est trop bon… Tu vas me faire jouir si tu continues comme ça !
— C’est vrai, s’extasia Jeanne, au comble du bonheur ?
Fermement drivée par son ardent neveu, Jeanne passa du galop endiablé à un trot plus langoureux. Les fesses fiévreusement malaxées, elle laissa Robert lui imposer le rythme de leur voluptueux accouplement.
Malgré le ralentissement de la chevauchée que lui imposait Robert, elle dut se rendre à l’évidence : elle éprouvait autant de plaisir, même si celui-ci était plus diffus, au va-et-vient affaibli du volumineux bourgeon de chair à l’intérieur de son vagin. Chaque nouvelle pénétration lui procurait un frémissement incendiaire dans le bas-ventre, déclenchant une onde sensuelle qui depuis l’intérieur de ses entrailles se propageait dans tout son corps, lui irradiant le creux des reins. À l’intérieur des balconnets de son soutien-gorge, ses seins s’étaient peu à peu gonflés, rendant leurs prisons soudain trop étroites. Au centre de ses aréoles qui s’étaient largement boursouflées, ses tétons s’étaient raidis, tels deux minuscules verges, doublant de volume.
— Hum ! C’est bon, gémit-elle à l’intention de son jeune amant !
— C’est pas ...
... meilleur comme ça ? ironisa Robert, continuant à diriger l’allure des ébats.
— Hum…
Les deux rythmes convenaient également à Jeanne. Si celui que lui imposait actuellement son jeune partenaire la ravissait, elle n’aurait pas été contre qu’il accélère quelque peu son allure, afin d’être pistonnée plus sauvagement.
Mais les ondes voluptueuses se faisant de plus en plus persistantes au niveau de sa poitrine, Jeanne lâcha les épaules de son amant auxquelles elle se cramponnait. Vivement, en des gestes impatients, elle s’attaqua aux boutons de son chemisier, les dégrafant rapidement. Puis son vêtement entièrement déboutonné, elle agrippa les bonnets de son soutien-gorge qu’elle tira à elle, libérant ses seins enflés par l’attente. Les volumineuses mamelles soudainement dégagées de leurs prisons de dentelles, retombèrent lourdement sur le torse étroit : deux outres à la chair laiteuse sillonnées de fines veinules bleutées et outrageusement gonflées de sève.
Saisissant ses deux seins dilatés dans ses mains refermées en coupe, Jeanne les présenta alors à son amant :
— Embrasse-les, quémanda-t-elle d’une voix suppliante… Tu voulais toujours les toucher lorsque tu étais gamin, lui rappela-t-elle.
Sans lâcher l’opulente croupe qu’il malaxait de plus en plus fiévreusement, à mesure que le plaisir se développait en lui, Robert se jeta tel un nourrisson affamé sur l’un des mamelons boursouflés. Avec une gourmandise sensuelle il suça les larges aréoles mauves à la chair ...