1. Tante Jeanne - Soirée Familiale


    Datte: 28/07/2018, Catégories: fh, fplusag, extracon, oncletante, grosseins, poilu(e)s, pénétratio, Auteur: Fulvia, Source: Revebebe

    ... contraire, ça m’excite…
    — Salaud !
    
    Enthousiasmé par sa victoire, Robert écarta la fine lingerie de dentelle pour la porter à ses narines, telle une relique sacrée. Humant l’entrejambe renforcé de coton, il s’exclama à l’adresse de sa tante qui le regardait faire, quelque peu gênée.
    
    — Hum, quel parfum !
    — Ça ne doit pas sentir si bon que ça, répliqua Jeanne… Elle doit être trempée… par ta faute !
    — Ce n’en est que meilleur… Tu oublies que j’ai déjà goûté à ta liqueur hier, et que je me suis régalé…
    
    Comme il portait le tissu à sa bouche pour en goûter les saveurs, Jeanne, victime d’un reste de pudeur s’exclama :
    
    — Non, Robert, c’est sale !
    
    Un bruit de porte fermée à l’étage ramena vivement les deux amants à la réalité. Glissant précipitamment le chiffon de nylon noir à l’intérieur de son pantalon, Robert murmura à l’attention de sa tante :
    
    — Si tu veux récupérer ta culotte, Tantine, il faudra que tu viennes la chercher !
    
    L’apparition de Maggy empêcha Jeanne de répondre.
    
    L’omelette enfin cuite, tout le monde reprit sa place autour de la table. Alors que Maggy la questionnait sur l’avenir médical de son mari, Jeanne éprouva soudain un choc émotionnel : le pied de Robert, comme elle l’avait d’ailleurs espéré, venait de frôler à nouveau sa cheville, et insidieusement remontait le long de son mollet. Alors, sans plus réfléchir, elle ouvrit largement le compas de ses cuisses pour faciliter la progression de son jeune amant en direction de sa chatte béante. ...
    ... Lorsque l’orteil de Robert frôla les grandes lèvres de sa vulve, une onde de désir se répandit dans son bas-ventre. L’excitation, qui depuis le début de la soirée l’avait submergée, devenait de plus en plus insoutenable. Jamais elle n’avait ressenti une telle envie de faire l’amour, un tel besoin de sentir un membre masculin la pénétrer, la fouiller. Seule une pénétration pourrait calmer le brasier qui consumait son vagin, songea-t-elle avec envie. Une pensée lui effleura l’esprit : si jamais elle devait aller se coucher avec cette fièvre sexuelle au fond des entrailles, il lui faudrait réapprendre ses caresses d’adolescente. Discrètement, elle avança ses fesses sur sa chaise, afin que son jeune amant puisse la toucher plus intimement.
    
    Lorsque l’orteil explorateur écrasa les grandes lèvres de sa vulve congestionnée, elle ressentit une onde voluptueuse la submerger. Le désir qui la faisait abondamment mouiller s’accentua encore dans son bas-ventre affamé. D’un rapide coup d’œil, elle essaya de faire comprendre à son pervers neveu combien son attouchement la comblait.
    
    Inconsciente du ballet érotique qui se jouait à l’abri de la table entre son mari et sa tante, Maggy menait une discussion auquel les deux amants ne s’intéressaient que moyennement. Robert s’efforçait de frôler les grandes lèvres sexuelles de sa complice à l’aide de son gros orteil. Bien qu’ayant appris combien sa tante pouvait ruisseler sous le désir, l’abondante humidité qu’il percevait sous son doigt de ...
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