1. Félline - Une BioXXXgraphie (5)


    Datte: 27/07/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Lewis Lestrange, Source: Xstory

    ... conditions sont remplies.
    
    Les dents serrées, Jean se leva avec humeur. Il allait sortir du bureau quand la voix du directeur, dans son dos, lui lança :
    
    — Cette jeune femme mérite-t-elle que vous lui sacrifiiez votre avenir ? Réfléchissez bien, Jean. Et bonne chance.
    
    *
    
    Félline ne se remit jamais vraiment de la rupture, malgré les explications circonstanciées de Jean. Quand elle apprit, trois mois plus tard, que Jean, non content de s’être installé à l’autre bout du pays, n’y vivait plus seul, elle crut devenir folle furieuse. Quand elle découvrit que la nouvelle compagne de Jean n’était autre qu’Elsa, et que le succès souriait au nouveau couple fraîchement fiancé, elle sombra dans une dépression profonde.
    
    Dégoûtée des relations humaines, amputée de toute estime d’elle-même, amoindrie par le chagrin, diminuée par un manque de confiance en soi, elle cessa peu à peu ses activités sportives et abandonna ses études. Un travail alimentaire pourvut à ses besoins. Elle noyait chaque soir son oreiller sous les pleurs.
    
    Mais les personnalités de la trempe de Félline ne supportent pas longtemps de se morfondre. Quittée par l’amour de sa vie, humiliée par sa meilleure amie, Félline décida de devenir la maîtresse de toutes les femmes, et la proie de tous les hommes. Avec une résolution peu commune, elle se précipita dans une débauche furieuse. Sa frimousse toujours angélique, ses formes de femme-enfant, sa complète absence de limites la rendirent bientôt célèbre dans le ...
    ... milieu libertin. Pas une semaine ne s’écoulait sans qu’on la vît, dans une orgie, accepter de parfaits inconnus dans des doubles et même des triples pénétrations, ou sans qu’on entendît son souffle s’accélérer et sa voix crier sa jouissance sous les assauts d’une femme. Elle était dépendante au sexe comme à une drogue dure.
    
    Elle préférait par-dessus tout les enterrements de vies de garçon, quand la chance lui était offerte de rendre infidèle par anticipation un futur époux. Débaucher le futur marié, le laisser s’amuser à sa guise avec tous les recoins de son corps de parfaite petite salope, accueillir ses éjaculations dans sa bouche, dans sa chatte, dans son cul, lui faire sentir jusqu’à la douleur tout ce qu’il ratait, lui inspirer pour les jours suivants un savant mélange de chagrin, de culpabilité et de regret, lui faire, somme toute, partager un peu de son désespoir, conduisait Félline à une jubilation d’une extrême perversité.
    
    Demeuré son confident, témoin désolé de son itinéraire, j’étais certain qu’elle aurait fini par se suicider, à la longue, quand elle aurait pris conscience de sa déchéance physique, morale et intellectuelle. Je venais l’attendre, semaine après semaine, au sortir de ses partouzes. Elle montait dans ma voiture, douchée de frais, fatiguée mais souriante, l’air de plus en plus éteint et indifférente, au fil des saisons.
    
    Jusqu’à ce jour de juin dernier, quand elle commença à remonter la pente, dans une métamorphose si rapide qu’elle déjoua tous ...
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