1. Félline - Une BioXXXgraphie (5)


    Datte: 27/07/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Lewis Lestrange, Source: Xstory

    Le surlendemain de la soutenance tombait un mardi. Jean partit à la faculté pour un entretien formel avec le directeur du département Mathématiques à l’antenne locale du CNRS. Sa mention lui ouvrait l’espoir d’une titularisation en tant que chercheur. L’entretien se passa aussi bien qu’il pouvait se passer, et Jean, s’il se savait en concurrence avec d’autres candidats venus de différentes facultés françaises, sortit de la faculté plein d’espoir pour sa carrière.
    
    Dans l’ascenseur, certain que Félline se surpasserait ce jour-là, il se prit à bander. Dans quelle débauche l’entraînerait-elle aujourd’hui ? Il ouvrit la porte de l’appartement et lança son coutumier :
    
    — Chérie, c’est moi.
    
    Des gloussements frais, des bruits humides, provenaient de la chambre. Enlevant son blouson, Jean marcha droit à la porte. Comme il s’y attendait, il y trouva Félline complètement nue, en compagnie... d’une autre jeune femme. Blonde aux cheveux coupés à la nuque, plus grande que Félline d’une bonne quinzaine de centimètres, tout aussi élancée mais dotée de formes plus rondes, elle plut tout de suite à Jean.
    
    — Je te présente Elsa, chéri. Tu sais, je t’ai parlé d’elle. Elle sait tout ce que je fais pour toi et elle m’a souvent dit, ces dernières semaines, qu’elle voulait absolument rencontrer celui pour qui j’étais prête à tout.
    
    — Bonjour, Monsieur le docteur en mathématiques, dit Elsa, souriante.
    
    — Je... Mais..., balbutia Jean.
    
    — Oui, je sais ce que tu penses, mais c’est Elsa ...
    ... qui m’a convaincue de changer un peu les habitudes. Je ne vois pas comment je pourrais t’interdire de te taper d’autres filles alors que je me tape tous les mecs que je veux, tu comprends ? Et puis, pour fêter ta thèse, il fallait quelque chose de spécial.
    
    — Et puis, renchérit Elsa, au cas où, on a tout prévu.
    
    D’un geste preste, Elsa glissa une main sous un des oreillers et en tira un gode-ceinture aux dimensions respectables. Se mettant à genoux sur le lit, elle s’approcha de Jean, s’appuya sur son épaule, et lui murmura dans un sourire qui le rendit fou :
    
    — Tu sais, Félline, je crois bien que je peux la baiser comme un homme. Mieux qu’un homme. On parie ?
    
    Pour toute réponse, Jean se dénuda en un clin d’œil. Déjà Félline et Elsa se disputaient sa bite de la langue et des lèvres. A cette période de l’année, la nuit tombait déjà alors que l’après-midi n’en était qu’à son mitan : les deux femmes avaient allumé la lumière dans la chambre, et Jean songea qu’à travers la fenêtre, un observateur de l’immeuble d’en face pouvait fort bien les voir tous les trois. Cette idée lui inspira une ardeur formidable. Il saisit le menton d’Elsa, la força à relever les yeux vers lui, et lui dit :
    
    — OK, tu baises Félline. Tu la baises de toutes tes forces. Mais après, je te ferai jouir toi comme je la fais jouir elle.
    
    Elsa hocha la tête, le souffle court. Elle se pencha une nouvelle fois vers la bite de Jean, rejoignant Félline. Les deux femmes échangèrent un baiser puis Elsa ...
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